Aujourd'hui, nous sommes le dimanche 26 octobre.
Me voici devant toi Seigneur avec tout ce que je suis. Je dépose devant toi ce qui m’habite, je prends le temps de faire silence et de me disposer intérieurement pour que tout mon être soit orienté vers toi. Je demande au Seigneur la grâce d’avancer dans ma relation avec lui. Au nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “Pardonne moi, Seigneur”par le Chemin Neuf.
1. Pardonne-moi, Seigneur, j’ai renié ton Nom,
Pardonne-moi, Seigneur, j’ai quitté ta maison.
J’ai voulu posséder sans attendre le don,
Pardonne-moi et purifie mon coeur !
R/ Kyrie eleison,
Kyrie eleison. (Kyrie!) (bis)
2. Pardonne-moi, Seigneur, j’ai suivi d’autres dieux,
Pardonne-moi, Seigneur, j’ai détourné les yeux.
J’ai choisi loin de toi la richesse et l’honneur,
Pardonne-moi et purifie mon coeur !
Christe eleison,
Christe eleison. (Christe!) (bis)
3. Pardonne-moi, Seigneur j’ai n’ai pas su aimer,
Pardonne-moi, Seigneur je me suis dérobé.
Je ne suis pas resté le gardien de mon frère,
Pardonne-moi et purifie mon coeur !
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 18 de l’Evangile selon saint Luc.
En ce temps-là, à l’adresse de certains qui étaient convaincus d’être justes et qui méprisaient les autres, Jésus dit la parabole que voici : « Deux hommes montèrent au Temple pour prier. L’un était pharisien, et l’autre, publicain (c’est-à-dire un collecteur d’impôts). Le pharisien se tenait debout et priait en lui-même : ‘Mon Dieu, je te rends grâce parce que je ne suis pas comme les autres hommes – ils sont voleurs, injustes, adultères –, ou encore comme ce publicain. Je jeûne deux fois par semaine et je verse le dixième de tout ce que je gagne.’ Le publicain, lui, se tenait à distance et n’osait même pas lever les yeux vers le ciel ; mais il se frappait la poitrine, en disant : ‘Mon Dieu, montre-toi favorable au pécheur que je suis !’ Je vous le déclare : quand ce dernier redescendit dans sa maison, c’est lui qui était devenu un homme juste, plutôt que l’autre. Qui s’élève sera abaissé ; qui s’abaisse sera élevé. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Dans l’Eglise, je ne suis pas seul; si je le peux, Je prends le temps de m’installer dans un lieu de prière ouvert à tous. Où est-ce que je me sens le plus à l’aise ? Je ne suis pas seule, d’autres sont là : je prends le temps de regarder autour de moi. Je rends grâce à Dieu pour la diversité qui s’exprime au travers de chacun.
2. J’entends la parabole de Jésus : je considère chacun des personnages et j’écoute ce qui les habite. Le premier énumère tout ce qu’il fait. Il semble comblé. Je m’interroge : quelle place est laissée pour le Seigneur ?
3. Le second personnage parle peu, il s’adresse au Seigneur par une supplication « montre-toi favorable au pécheur que je suis ». Je me laisse rejoindre par cette supplication, par l’œuvre de miséricorde de Dieu.
J’écoute une deuxième fois ce texte d’Evangile, et je me rends attentif à la « Bonne Nouvelle » qui m’est dite.
Dans un cœur à cœur avec le Seigneur, je me laisse émerveiller par sa présence dans ma vie ; je lui partage ce que cette prière m’a donné de découvrir.
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit. Amen