Mercredi 17 avril 2024
« Le bon pasteur, le vrai berger donne sa vie pour ses brebis ». Il risque sa vie pour ceux et celles qu’il conduit car chacun, chacune compte pour lui. Son désir est qu’aucun ne se perde. Tel n’est pas le souci du mercenaire qui se tient à l’abri de tout danger et ne se préoccupe guère de la vie des autres. Le Seigneur se fait du souci pour ma vie. Je médite sur ce mystère d’amour et je réfléchis en moi-même sur la manière dont je prends soin de la vie : la mienne, celle des autres.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
Chapitre 10, versets 11-18
En ce temps-là, Jésus déclara : « Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. » © AELF Image à la Une : https://pixabay.com/fr/photos/bergerie-berger-occupation-agneau-4112190/