Jeudi 18 avril 2024
Le bon pasteur dont nous parle Jésus conduit son troupeau avec grande attention. La vie de ses brebis compte plus que sa propre vie. Pourtant ce berger regarde plus loin : il y a d’autres brebis qui ne sont pas de cet enclos. D’elles aussi il a souci. Chemin faisant, il saura les appeler, les inviter à le rejoindre. Chemin faisant, je regarde les brebis qui sont accueillies, les brebis qui accueillent. J’imagine la scène, ce que cela provoque en chacun – berger et brebis. Je réfléchis en moi-même.
Évangile de Jésus Christ selon saint Jean
Chapitre 10, versets 11-18
En ce temps-là, Jésus déclara : « Moi, je suis le bon pasteur, le vrai berger, qui donne sa vie pour ses brebis. Le berger mercenaire n’est pas le pasteur, les brebis ne sont pas à lui : s’il voit venir le loup, il abandonne les brebis et s’enfuit ; le loup s’en empare et les disperse. Ce berger n’est qu’un mercenaire, et les brebis ne comptent pas vraiment pour lui. Moi, je suis le bon pasteur ; je connais mes brebis, et mes brebis me connaissent, comme le Père me connaît, et que je connais le Père ; et je donne ma vie pour mes brebis. J’ai encore d’autres brebis, qui ne sont pas de cet enclos : celles-là aussi, il faut que je les conduise. Elles écouteront ma voix : il y aura un seul troupeau et un seul pasteur. Voici pourquoi le Père m’aime : parce que je donne ma vie, pour la recevoir de nouveau. Nul ne peut me l’enlever : je la donne de moi-même. J’ai le pouvoir de la donner, j’ai aussi le pouvoir de la recevoir de nouveau : voilà le commandement que j’ai reçu de mon Père. » © AELF Image à la Une : https://pixabay.com/fr/photos/bergerie-berger-occupation-agneau-4112190/