Samedi 11 janvier 2025
Alors que Jésus prie, « le ciel s’ouvrit ». La nature est comme le miroir de ce qui se passe dans les cœurs ! Et des cieux qui se déchirent, cela peut faire penser à plusieurs théophanies de l’Ancien Testament : le déluge, la mer rouge qui s’écarte, les éléments déchaînés avec Elie à l’Horeb… Selon les évangélistes, la voix du ciel est entendue par Jésus seul ou par tous, de même pour la venue de l’Esprit présenté « sous une apparence corporelle » ou non. Il y a en tout cas des choses à voir et à entendre ! Comment cette expérience de Jésus résonne-t-elle en moi ? Ai-je souvenir d’un moment particulier où je me suis ainsi senti aimé ?
Évangile de Jésus Christ selon saint Luc
Chapitre 3, 15-16.21-22
En ce temps-là, le peuple venu auprès de Jean le Baptiste était en attente, et tous se demandaient en eux-mêmes si Jean n’était pas le Christ. Jean s’adressa alors à tous : « Moi, je vous baptise avec de l’eau ; mais il vient, celui qui est plus fort que moi. Je ne suis pas digne de dénouer la courroie de ses sandales. Lui vous baptisera dans l’Esprit Saint et le feu. » Comme tout le peuple se faisait baptiser et qu’après avoir été baptisé lui aussi, Jésus priait, le ciel s’ouvrit. L’Esprit Saint, sous une apparence corporelle, comme une colombe, descendit sur Jésus, et il y eut une voix venant du ciel : « Toi, tu es mon Fils bien-aimé ; en toi, je trouve ma joie. » © AELF Image à la Une : https://pixabay.com/fr/photos/des-nuages-ciel-atmosph%C3%A8re-384672/