Aujourd'hui nous sommes le mercredi 28 mai, 6° semaine du temps Pascal.
Aujourd’hui encore, Jésus nous annonce la venue de l’Esprit Saint. Au début de ce temps de prière, je me place devant Dieu, je lui demande d’ouvrir toute ma vie à la présence de son Esprit.
Le Chemin Neuf chante “Esprit de sainteté”. Je peux faire mienne la demande de recevoir le consolateur, Esprit de vérité . Au nom du Père, du Fils et du saint Esprit. Amen
A. Esprit de Sainteté, viens combler nos coeurs,
Tout au fond de nos vies, réveille ta puissance.
Esprit de Sainteté, viens combler nos coeurs,
Chaque jour, fais de nous des témoins du Seigneur.
B. Tu es la lumière qui vient nous éclairer,
Le libérateur, qui vient nous délivrer.
Le consolateur, Esprit de vérité,
En toi l'espérance, et la fidélité.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 16 de l’évangile selon saint Jean.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
« J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l’instant vous ne pouvez pas les porter.
Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans la vérité tout entière.
En effet, ce qu’il dira ne viendra pas de lui-même : mais ce qu’il aura entendu, il le dira ; et ce qui va venir, il vous le fera connaître.
Lui me glorifiera, car il recevra ce qui vient de moi pour vous le faire connaître.
Tout ce que possède le Père est à moi ; voilà pourquoi je vous ai dit : L’Esprit reçoit ce qui vient de moi pour vous le faire connaître. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Le terme « connaître » apparaît à trois reprises dans ce court extrait du discours de Jésus. Et ce qui est appelé à être connu, c’est Jésus lui-même, Parole de Dieu incarnée. Un instant je goûte cette étonnante promesse : A travers Jésus, Dieu veut se faire connaître pleinement de moi.
2. En même temps, au cœur de cette promesse, Jésus a la délicatesse de se mettre à notre rythme et selon nos forces : « pour l’instant vous ne pouvez pas les porter », mais « l’Esprit de vérité vous conduira. » Un instant, je regarde mes impatiences, mes désirs que cela aille plus vite. Et j’entends Jésus me dire « laisse-toi conduire par l’Esprit. ».
3. En disant « L’Esprit reçoit ce qui vient de moi pour vous le faire connaître », Jésus nous introduit dans le mystère de la Trinité. Un Père qui donne sans retour, un Fils qui accueille pleinement, un Amour qui unit cet échange. En vivant de cet amour, je vis au rythme de Dieu. Je médite cela pour ma vie.
Je me place aux côtés des disciples pour écouter à nouveau ces mots pleins de promesses.
A la fin de ce temps de prière, je me tourne vers une des trois personnes de la Trinité. Je peux lui demander d’entrer davantage dans une vie selon l’Esprit. Je peux aussi lui confier telle ou telle situation qui a du mal à s’ouvrir au souffle de l’Esprit qui nous est annoncé.
Seigneur Jésus,
Apprenez-nous à être généreux,
A Vous servir comme Vous le méritez
A donner sans compter,
A combattre sans souci des blessures,
A travailler sans chercher le repos,
A nous dépenser, sans attendre d'autre récompense,
que celle de savoir que nous faisons Votre Sainte Volonté.
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit, amen
Aujourd'hui nous sommes le mercredi 28 mai, 6° semaine du temps Pascal.
Aujourd’hui encore, Jésus nous annonce la venue de l’Esprit Saint. Au début de ce temps de prière, je me place devant Dieu, je lui demande d’ouvrir toute ma vie à la présence de son Esprit.
Le Chemin Neuf chante “Esprit de sainteté”. Je peux faire mienne la demande de recevoir le consolateur, Esprit de vérité . Au nom du Père, du Fils et du saint Esprit. Amen
A. Esprit de Sainteté, viens combler nos coeurs,
Tout au fond de nos vies, réveille ta puissance.
Esprit de Sainteté, viens combler nos coeurs,
Chaque jour, fais de nous des témoins du Seigneur.
B. Tu es la lumière qui vient nous éclairer,
Le libérateur, qui vient nous délivrer.
Le consolateur, Esprit de vérité,
En toi l'espérance, et la fidélité.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 16 de l’évangile selon saint Jean.
En ce temps-là, Jésus disait à ses disciples :
« J’ai encore beaucoup de choses à vous dire, mais pour l’instant vous ne pouvez pas les porter.
Quand il viendra, lui, l’Esprit de vérité, il vous conduira dans la vérité tout entière.
En effet, ce qu’il dira ne viendra pas de lui-même : mais ce qu’il aura entendu, il le dira ; et ce qui va venir, il vous le fera connaître.
Lui me glorifiera, car il recevra ce qui vient de moi pour vous le faire connaître.
Tout ce que possède le Père est à moi ; voilà pourquoi je vous ai dit : L’Esprit reçoit ce qui vient de moi pour vous le faire connaître. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Le terme « connaître » apparaît à trois reprises dans ce court extrait du discours de Jésus. Et ce qui est appelé à être connu, c’est Jésus lui-même, Parole de Dieu incarnée. Un instant je goûte cette étonnante promesse : A travers Jésus, Dieu veut se faire connaître pleinement de moi.
2. En même temps, au cœur de cette promesse, Jésus a la délicatesse de se mettre à notre rythme et selon nos forces : « pour l’instant vous ne pouvez pas les porter », mais « l’Esprit de vérité vous conduira. » Un instant, je regarde mes impatiences, mes désirs que cela aille plus vite. Et j’entends Jésus me dire « laisse-toi conduire par l’Esprit. ».
3. En disant « L’Esprit reçoit ce qui vient de moi pour vous le faire connaître », Jésus nous introduit dans le mystère de la Trinité. Un Père qui donne sans retour, un Fils qui accueille pleinement, un Amour qui unit cet échange. En vivant de cet amour, je vis au rythme de Dieu. Je médite cela pour ma vie.
Je me place aux côtés des disciples pour écouter à nouveau ces mots pleins de promesses.
A la fin de ce temps de prière, je me tourne vers une des trois personnes de la Trinité. Je peux lui demander d’entrer davantage dans une vie selon l’Esprit. Je peux aussi lui confier telle ou telle situation qui a du mal à s’ouvrir au souffle de l’Esprit qui nous est annoncé.
Seigneur Jésus,
Apprenez-nous à être généreux,
A Vous servir comme Vous le méritez
A donner sans compter,
A combattre sans souci des blessures,
A travailler sans chercher le repos,
A nous dépenser, sans attendre d'autre récompense,
que celle de savoir que nous faisons Votre Sainte Volonté.
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit, amen