Aujourd'hui, nous sommes le 26 décembre, et nous fêtons saint Etienne, premier martyr dans l’Eglise.

Au lendemain des fêtes de Noël, nous célébrons le martyre de saint Etienne. Cet évènement contraste avec la joie liée à la naissance de Jésus, Sauveur du monde. Pourtant, Etienne fait à son tour don de sa vie, et par sa Foi, il entre dans la vie éternelle. Je demande la grâce, à mon tour, de réussir à poser mes choix en vue de la vie éternelle.

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen

Nous écoutons le chant “Noël nouvelet”, interprété par Stéphane Potvin et le Con Brio Choir.


R/ Noël nouvelet, Noël chantons ici.


1. L’Ange disait: «Pasteurs partez d’ici.
L’âme en repos et le cœur réjoui;
En Bethléem trouverez l’agnelet.

2. En Bethléem, étant tous réunis,
Trouvent l’Enfant, Joseph, Marie aussi !
La crèche était au lieu d’un bercelet.

3. Bientôt les rois par l’étoile éclaircis,
De l’Orient dont ils étaient sortis
A Bethléem, vinrent un martinet.

4. L’un portait l’or, l’autre l’encens béni,
Un autre encore à Jésus myrrhe offrit
L’étable alors au Paradis semblait.


5. Noël nouvelet, Noël chantons ici.
Dévotes gens, crions à Dieu merci.
Chantons Noël, pour le Roi nouvelet

La lecture de ce jour est tirée du chapitre 6 et 7 des Actes des Apôtres.

En ces jours-là, Étienne, rempli de la grâce et de la puissance de Dieu, accomplissait parmi le peuple des prodiges et des signes éclatants. Intervinrent alors certaines gens de la synagogue dite des Affranchis, ainsi que des Cyrénéens et des Alexandrins, et aussi des gens originaires de Cilicie et de la province d’Asie. Ils se mirent à discuter avec Étienne, mais sans pouvoir résister à la sagesse et à l’Esprit qui le faisaient parler. Ceux qui écoutaient ce discours avaient le cœur exaspéré et grinçaient des dents contre Étienne. Mais lui, rempli de l’Esprit Saint, fixait le ciel du regard : il vit la gloire de Dieu, et Jésus debout à la droite de Dieu. Il déclara : « Voici que je contemple les cieux ouverts et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu. » Alors ils poussèrent de grands cris et se bouchèrent les oreilles. Tous ensemble, ils se précipitèrent sur lui, l’entraînèrent hors de la ville et se mirent à le lapider. Les témoins avaient déposé leurs vêtements aux pieds d’un jeune homme appelé Saul. Étienne, pendant qu’on le lapidait, priait ainsi : « Seigneur Jésus, reçois mon esprit. » Puis, se mettant à genoux, il s’écria d’une voix forte : « Seigneur, ne leur compte pas ce péché. » Et, après cette parole, il s’endormit dans la mort.

Textes liturgiques © AELF, Paris

1. Alors que ceux qui l’écoutent ont “le cœur exaspéré et grinçaient des dents contre Étienne”, “Lui, rempli de l’Esprit Saint, fixait le ciel du regard”. Je me représente la scène : la foule, opposée à Etienne, et Étienne qui reste confiant en Dieu, malgré l’épreuve qu’il traverse. Et moi, dans les moments de tourmente, est ce que j’arrive à garder foi en Dieu ? Comment est-ce que je peux voir qu’il reste présent à mes côtés dans les épreuves ?

2. Je me remémore la posture d’Étienne : “rempli de la grâce et de la puissance de Dieu”, “sans pouvoir résister à la sagesse et à l’Esprit qui le faisaient parler” : Etienne reçoit des dons particuliers de l’Esprit-Saint alors qu’il témoigne auprès d’un public haineux. Je demande à l’Esprit d’habiter mes paroles aujourd'hui.

3. « Seigneur Jésus, reçois mon esprit. », « Seigneur, ne leur compte pas ce péché. » La foi d’Etienne est renversante. Non seulement il garde toute sa confiance en Dieu, mais il parvient à pardonner à ses bourreaux alors qu’il est lapidé à mort. Je médite sur son témoignage d’amour et de confiance, au prix de son sang.

En écoutant une deuxième fois ce texte, j’ouvre mon cœur à l’Esprit-Saint, et je prends le temps de contempler tout particulièrement la figure d’Etienne.

Après avoir médité une seconde fois ce texte, je confie à Dieu ce qui me vient. Je peux demander à Dieu de m’inspirer le courage de témoigner malgré les oppositions. Je lui confie tous ceux qui sont en prison, torturés et tués à cause de leur foi en Jésus.

Avec les chrétiens de tous les pays, je dis :

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen

1. Noël nouvelet, Noël chantons ici.
Dévotes gens, crions à Dieu merci.
Chantons Noël, pour le Roi nouvelet

R/ Noël nouvelet, Noël chantons ici.

2. L’Ange disait: «Pasteurs partez d’ici.
L’âme en repos et le cœur réjoui;
En Bethléem trouverez l’agnelet

3. En Bethléem, étant tous réunis,
Trouvent l’Enfant, Joseph, Marie aussi!
La crèche était au lieu d’un bercelet

4. Bientôt les rois par l’étoile éclaircis,
De l’Orient dont ils étaient sortis
A Bethléem vinrent un matinet

5. L’un portait l’or, l’autre l’encens béni,
Un autre encore à Jésus myrrhe offrit
L’étable alors au Paradis semblait


6. Noël nouvelet, Noël chantons ici.
Dévotes gens, crions à Dieu merci.
Chantons Noël, pour le Roi nouvelet

La lecture de ce jour est tirée du chapitre 6 et 7 des Actes des Apôtres.

En ces jours-là, Étienne, rempli de la grâce et de la puissance de Dieu, accomplissait parmi le peuple des prodiges et des signes éclatants. Intervinrent alors certaines gens de la synagogue dite des Affranchis, ainsi que des Cyrénéens et des Alexandrins, et aussi des gens originaires de Cilicie et de la province d’Asie. Ils se mirent à discuter avec Étienne, mais sans pouvoir résister à la sagesse et à l’Esprit qui le faisaient parler. Ceux qui écoutaient ce discours avaient le cœur exaspéré et grinçaient des dents contre Étienne. Mais lui, rempli de l’Esprit Saint, fixait le ciel du regard : il vit la gloire de Dieu, et Jésus debout à la droite de Dieu. Il déclara : « Voici que je contemple les cieux ouverts et le Fils de l’homme debout à la droite de Dieu. » Alors ils poussèrent de grands cris et se bouchèrent les oreilles. Tous ensemble, ils se précipitèrent sur lui, l’entraînèrent hors de la ville et se mirent à le lapider. Les témoins avaient déposé leurs vêtements aux pieds d’un jeune homme appelé Saul. Étienne, pendant qu’on le lapidait, priait ainsi : « Seigneur Jésus, reçois mon esprit. » Puis, se mettant à genoux, il s’écria d’une voix forte : « Seigneur, ne leur compte pas ce péché. » Et, après cette parole, il s’endormit dans la mort.

Textes liturgiques © AELF, Paris

1. Alors que ceux qui l’écoutent ont “le cœur exaspéré et grinçaient des dents contre Étienne”, “Lui, rempli de l’Esprit Saint, fixait le ciel du regard”. Je me représente la scène : la foule, opposée à Etienne, et Étienne qui reste confiant en Dieu, malgré l’épreuve qu’il traverse. Et moi, dans les moments de tourmente, est ce que j’arrive à garder foi en Dieu ? Comment est-ce que je peux voir qu’il reste présent à mes côtés dans les épreuves ?

2. Je me remémore la posture d’Étienne : “rempli de la grâce et de la puissance de Dieu”, “sans pouvoir résister à la sagesse et à l’Esprit qui le faisaient parler” : Etienne reçoit des dons particuliers de l’Esprit-Saint alors qu’il témoigne auprès d’un public haineux. Je demande à l’Esprit d’habiter mes paroles aujourd'hui.

3. « Seigneur Jésus, reçois mon esprit. », « Seigneur, ne leur compte pas ce péché. » La foi d’Etienne est renversante. Non seulement il garde toute sa confiance en Dieu, mais il parvient à pardonner à ses bourreaux alors qu’il est lapidé à mort. Je médite sur son témoignage d’amour et de confiance, au prix de son sang.

En écoutant une deuxième fois ce texte, j’ouvre mon cœur à l’Esprit-Saint, et je prends le temps de contempler tout particulièrement la figure d’Etienne.

Après avoir médité une seconde fois ce texte, je confie à Dieu ce qui me vient. Je peux demander à Dieu de m’inspirer le courage de témoigner malgré les oppositions. Je lui confie tous ceux qui sont en prison, torturés et tués à cause de leur foi en Jésus.

Avec les chrétiens de tous les pays, je dis :

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen

Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen