Évangile du jour : Mt 10, 26-33
En ce temps-là, Jésus disait à ses Apôtres : « Ne craignez pas les hommes ; rien n’est voilé qui ne sera dévoilé, rien n’est caché qui ne sera connu. Ce que je vous dis dans les ténèbres, dites-le en pleine lumière ; ce que vous entendez au creux de l’oreille, proclamez-le sur les toits. Ne craignez pas ceux qui tuent le corps sans pouvoir tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr dans la géhenne l’âme aussi bien que le corps. Deux moineaux ne sont-ils pas vendus pour un sou ? Or, pas un seul ne tombe à terre sans que votre Père le veuille. Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Soyez donc sans crainte : vous valez bien plus qu’une multitude de moineaux. Quiconque se déclarera pour moi devant les hommes, moi aussi je me déclarerai pour lui devant mon Père qui est aux cieux. Mais celui qui me reniera devant les hommes, moi aussi je le renierai devant mon Père qui est aux cieux. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
Aujourd'hui nous sommes le dimanche 25 juin.
En ce dimanche, je confie ma prière à l’Esprit Saint et j’ouvre mon espace intérieur pour mieux l’accueillir. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous entrons en prière avec Viens, esprit saint descend sur nous, de la communauté du Chemin Neuf.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 10 de l'évangile selon Saint Matthieu.
En ce temps-là, Jésus disait à ses Apôtres : « Ne craignez pas les hommes ; rien n’est voilé qui ne sera dévoilé, rien n’est caché qui ne sera connu. Ce que je vous dis dans les ténèbres, dites-le en pleine lumière ; ce que vous entendez au creux de l’oreille, proclamez-le sur les toits. Ne craignez pas ceux qui tuent le corps sans pouvoir tuer l’âme ; craignez plutôt celui qui peut faire périr dans la géhenne l’âme aussi bien que le corps. Deux moineaux ne sont-ils pas vendus pour un sou ? Or, pas un seul ne tombe à terre sans que votre Père le veuille. Quant à vous, même les cheveux de votre tête sont tous comptés. Soyez donc sans crainte : vous valez bien plus qu’une multitude de moineaux. Quiconque se déclarera pour moi devant les hommes, moi aussi je me déclarerai pour lui devant mon Père qui est aux cieux. Mais celui qui me reniera devant les hommes, moi aussi je le renierai devant mon Père qui est aux cieux. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
Piste 1
« Rien n’est voilé qui ne sera dévoilé, rien n’est caché qui ne sera connu », nous dit Jésus. Ce n’est pas à nous de jouer les détectives pour révéler ou dévoiler… Jésus m’invite plutôt à proclamer ce que je reçois de lui ! Si j’en avais la possibilité ou le courage, qu’est ce que j’aimerais proclamer ?
Piste 2
Le mot « craindre » revient 4 fois dans ce court passage. Utilisé pour Dieu, ce terme exprime une sorte de respect pour celui qui m’a donné la vie, un respect infini. Dans les jours passés, j’essaie de voir une situation où j’ai pu ressentir cette crainte aimante devant la vie donnée en plénitude : un geste, un regard, une parole reçue.
Piste 3
C’est à la confiance que Dieu m’appelle. Vivre de cette confiance libère, facilite, ouvre. C’est la vie selon l’Esprit de Jésus. Tout en disant cela, Jésus souligne ma propre responsabilité face à l’urgence d’annoncer la Bonne Nouvelle. Je te présente Seigneur, ces lieux qui m'empêchent de vivre totalement dans la confiance et l’annonce. Guéris les.
Assis auprès des Apôtres, loin de toute peur, j’écoute à nouveau ce passage.
A l’image de l’histoire des moineaux, Jésus m’invite à découvrir dans mon quotidien, dans ce que je vis ou contemple, la bonté agissante de Dieu. Je lui en parle, lui mon ami, lui mon Seigneur.
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen