Aujourd'hui, nous sommes le 21 septembre, 25ème dimanche du Temps Ordinaire.
En ce dimanche, premier jour de la semaine, je me tiens devant toi, Seigneur. Accueille ma présence, et donne moi d’accueillir ta présence. Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
Nous écoutons le chant “Venez adorons le Seigneur”, interprété par le Chemin Neuf.
R/ Venez, adorons le Seigneur
Venez et chantons notre joie
Pour le Dieu de notre salut (bis)
1. Avançons devant lui avec des chants de louanges.
Faisons retentir pour lui l'acclamation,
Que jaillissent en nos cœurs des hymnes d'allégresse. (bis)
2. C'est lui qui a formé les profondeurs de la terre.
À lui les sommets et tous les océans,
Tout nous vient de sa main comme un don de sa gloire. (bis)
3. Venez, prosternons-nous humblement devant sa face,
À genoux devant le dieu qui nous a faits,
Car c'est lui notre dieu et nous sommes son peuple. (bis)
4. Ecoutez, aujourd’hui la voix de Dieu nous appelle,
Ne détournons pas nos cœurs de son amour,
Entrons dans son repos et goûtons sa présence. (bis)
La lecture de ce jour est tirée de la première lettre de saint Paul à Timothée au chapitre 2.
Bien-aimé,
j’encourage, avant tout, à faire des demandes, des prières, des intercessions et des actions de grâce pour tous les hommes, pour les chefs d’État et tous ceux qui exercent l’autorité, afin que nous puissions mener notre vie dans la tranquillité et le calme, en toute piété et dignité.
Cette prière est bonne et agréable à Dieu notre Sauveur, car il veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la pleine connaissance de la vérité.
En effet, il n’y a qu’un seul Dieu, il n’y a aussi qu’un seul médiateur entre Dieu et les hommes :
un homme, le Christ Jésus, qui s’est donné lui-même en rançon pour tous. Aux temps fixés, il a rendu ce témoignage, pour lequel j’ai reçu la charge de messager et d’apôtre – je dis vrai, je ne mens pas – moi qui enseigne aux nations la foi et la vérité.
Je voudrais donc qu’en tout lieu les hommes prient en élevant les mains, saintement, sans colère ni dispute.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Dieu veut que tous les hommes soient sauvés et parviennent à la pleine connaissance de la vérité. Et pour cela, Paul encourage Timothée à faire des prières d’intercessions, des prières pour une situation ou une personne. Est-ce pour moi quelque chose de commun et d’aisé ? Si ce n’est pas le cas, qu’est ce qui me gène dans cette pratique ?
2. Paul invite à prier pour celles et ceux qui exercent l’autorité, les chefs d'État. Ils ont en effet de grandes responsabilités et seront amenés à prendre des décisions qui engagent les autres. Un instant, je contemple la scène politique ou les puissants de mon pays. Qui aurait besoin d’être inspiré dans son agir ? Je prie pour cette personne.
3. « Il n’y a qu’un seul Dieu, il n’y a aussi qu’un seul médiateur entre Dieu et les hommes : un homme, le Christ Jésus. » C’est ainsi que Paul souligne la place particulière de Jésus Christ dans nos prières, intercédant pour nous auprès de Dieu. Je me laisse habiter par cette action de Jésus-Christ.
A nouveau, j’écoute cet extrait de lettre de saint Paul, écoutant avec attention son invitation à intercéder.
A la fin de ce temps, je peux à mon tour intercéder pour une personne qui me semble avoir besoin de ma prière fraternelle. Je la confie à Jésus, sûre que celui-ci la confiera au cœur plein de miséricorde du Père.
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Car c’est à toi qu’appartiennent, le règne, la puissance et la gloire,
pour les siècles des siècles, amen.
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen