Pendant l’Avent, Prie en Chemin vous propose de faire le travail intérieur qui nous permet d’accueillir la paix qui vient de Dieu.
Aujourd'hui, nous sommes le jeudi 18 décembre, de la troisième semaine du temps de l’Avent.
Au début de ce temps de prière, où que je sois, je me mets en présence du Seigneur, sous le regard de Dieu, et demande sa grâce pour prier, rien qu’aujourd’hui.
Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous écoutons le chant : “J'ai confiance en toi” par Aevol.
R/ Sur le chemin de l'impossible, j'ai confiance en toi
Même quand c'est difficile, j'ai confiance en toi
Et si mes yeux voient le contraire, j'ai confiance en toi
J’ai confiance en toi, en toi El Shaddaï
Sur ce sentier tu conduis mes pas
Et quand je tombe tu me prends la main
Les peurs les doutes sont en arrière
Car dans la nuit tu es ma lumière
À mes côtés tu mènes les combats
Dans mes faiblesses tu es mon rempart
Et je sais, tu es mon allié, Jésus
Alors j'ai mis ma foi en toi
Devant la maladie, je crois en toi
Le Dieu de l'assurance, je sais c'est toi
C'est pourquoi je te dis
La lecture de ce jour est tirée du Psaume 71.
Dieu, donne au roi tes pouvoirs,
à ce fils de roi ta justice.
Qu’il gouverne ton peuple avec justice,
qu’il fasse droit aux malheureux !
Il délivrera le pauvre qui appelle
et le malheureux sans recours.
Il aura souci du faible et du pauvre,
du pauvre dont il sauve la vie.
Béni soit le Seigneur, le Dieu d’Israël,
lui seul fait des merveilles !
Béni soit à jamais son nom glorieux,
toute la terre soit remplie de sa gloire ! Amen ! Amen !
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Le psaume appelle un gouverneur qui fasse droit au malheureux, qui a souci du faible et du pauvre. Dans quelques jours, nous accueillerons un bébé faible et vulnérable. Et moi, comment ai-je soucis du faible et du pauvre ?
2.« Il délivrera le pauvre qui appelle, et le malheureux sans recours ». Dans le silence, je peux reconnaître mon besoin de Dieu, qui a souci de moi, qui veut me délivrer. Sûre de son amour, je regarde avec Lui mes propres faiblesses, mes pauvretés. Est-ce que je peux les présenter à Dieu ?
3. La fin du psaume bénit le Seigneur. Je peux simplement répéter ces quelques mots pour, à mon tour, bénir Dieu qui fait des merveilles, reconnaissant que Dieu est plus grand que moi et que je suis invitée à le louer : « Béni soit le Seigneur ».
J’écoute le psalmiste et je m’associe à sa prière, avec ce qui a habité ma prière aujourd’hui.
Dans le silence de mon cœur, je m’adresse à Dieu, comme le psalmiste, pour l’appeler à l’aide ou le bénir, pour lui parler comme à un ami.
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen
Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen