Lundi 17 novembre

Évangile du jour : Lc 18, 35-43

« Retrouve la vue ! Ta foi t’a sauvé. » Lc 18, 35-43

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Lundi 17 novembre

Évangile du jour : Lc 18, 35-43

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Aujourd'hui, nous sommes le lundi 17 novembre, et nous fêtons sainte Elisabeth de Hongrie.

Au moment de commencer ma prière, je fais d'abord silence en moi. Je me tourne intérieurement vers Dieu, déjà présent. Je lui demande la claire vision : c'est-à-dire de savoir ce qu’il me faut.

Et je me présente à lui par un signe de croix : au nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.

Seigneur, j’écoute les paroles du chant “Je ne suis plus esclave de la peur”, interprété par Grégory Turpin, qui m’invite à la confiance et à l’abandon à Dieu.

1. Tu m'as éblouie
Par tes mélodies
Tu m'entoures d'un chant d'amour
Chant de délivrance
Devant mes ennemis
Toutes mes craintes s'enfuient

R/ Je ne suis plus esclave de la peur
Je suis enfant de Dieu
Je ne suis plus esclave de la peur
Je suis enfant de Dieu

2. Avant ma naissance
Tu m'avais choisi
Appelé par mon nom
Tu m'as adopté
Je suis de ta famille
Ton sang coule dans mes veines

La lecture de ce jour est tirée du chapitre 18 de l'évangile selon saint Luc.

Alors que Jésus approchait de Jéricho, un aveugle mendiait, assis au bord de la route. Entendant la foule passer devant lui, il s’informa de ce qu’il y avait. On lui apprit que c’était Jésus le Nazaréen qui passait. Il s’écria : « Jésus, fils de David, prends pitié de moi ! »
Ceux qui marchaient en tête le rabrouaient pour le faire taire. Mais lui criait de plus belle : « Fils de David, prends pitié de moi ! » Jésus s’arrêta et il ordonna qu’on le lui amène.
Quand il se fut approché, Jésus lui demanda : « Que veux-tu que je fasse pour toi ? » Il répondit : « Seigneur, que je retrouve la vue. » Et Jésus lui dit : « Retrouve la vue ! Ta foi t’a sauvé. » À l’instant même, il retrouva la vue, et il suivait Jésus en rendant gloire à Dieu. Et tout le peuple, voyant cela, adressa une louange à Dieu.

Textes liturgiques © AELF, Paris

1. Assis par terre et statique, l’aveugle entend passer devant lui sans voir. Je m’imagine, moi, sans la vue. Je guette avec mon oreille. Qu’est-ce que je ressens ?

2. Comme l’aveugle, il y a sans doute des choses qui m’enferment, qui limitent ma capacité à vivre en véritable enfant de Dieu, en liberté. Je cherche ce qui obscurcit ma propre vision, ce qui me limite dans mes relations.

3. Je regarde l’élan vital de l’aveugle : son appel inspiré, sa persévérance malgré les rebuffades, sa demande à Jésus et sa mise en marche. Le voilà debout qui suit le Christ et rend gloire à Dieu. Qu’est ce que cela m’inspire?

En réécoutant cet évangile, je suis sensible à la façon dont Jésus accueille le désir profond de cet homme.

Je continue mon dialogue avec Jésus. Il me dit “que veux tu que je fasse pour toi ?”. Je lui réponds du fond de mon cœur.

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen

Au nom du Père, du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.

Musiques

Les chemins de l'amour de Jacques Burtin interprété par Jacques Burtin
«Le jour des merveilles» © ADF-Bayard Musique Voir le site de ADF-Bayard Musique

Plus esclaves de Frantz Junior Moise interprété par Grégory Turpin
«Pas d'album» © Creative Commons Youtube Audio Library Voir les conditions d'utilisation

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