Aujourd'hui nous sommes le jeudi 16 octobre et nous faisons mémoire de sainte Marguerite-Marie Alacoque, une religieuse du 17ème siècle, de l’ordre de la Visitation, mystique et inspiratrice du culte du Sacré-Cœur de Jésus.
Marguerite-Marie a eu plusieurs visions du Christ lui disant : “Voici le cœur qui a tant aimé les hommes”. Je demande au Seigneur que mon cœur puisse davantage ressembler à celui du Christ. Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.
Nous écoutons le chant “Voici ce coeur qui a tant aimé les hommes” de la Communauté de l’Emmanuel.
R. Voici ce cœur,
Qui a tant aimé les hommes.
Voici ce cœur,
Qui s’est livré pour le monde.
Voici ce cœur, qui a soif de toi.
1. Jésus, Dieu de ma vie, que ton amour
Est admirable pour moi.
Tu m’aimes, tu me désires, me cherches,
Comme si j’étais nécessaire.
Tu me désires comme un véritable trésor.
2. Tu cherches mon amitié
Pour en faire ton bonheur.
Seigneur, pourrais-tu en faire
Davantage pour moi ?
Ô bonté, je me perds dans l’infini de ton amour.
3. Que répondre à ces voix qui m’invitent à t’aimer ?
Je veux que toutes mes pensées, mes paroles et actions,
Tous les instants de ma vie
Et même tous mes péchés se transforment
En autant de voix qui disent éternellement :
« Mon Seigneur Jésus, je t’aime ».
4. Seigneur Jésus, mon Sauveur, je te bénis
Et t’adore de toute mon âme.
Je choisis aujourd’hui ton divin cœur
La lecture de ce jour est le psaume 129.
Des profondeurs je crie vers toi, Seigneur,
Seigneur, écoute mon appel !
Que ton oreille se fasse attentive
au cri de ma prière !
Si tu retiens les fautes, Seigneur,
Seigneur, qui subsistera ?
Mais près de toi se trouve le pardon
pour que l’homme te craigne.
J’espère le Seigneur de toute mon âme ;
je l’espère, et j’attends sa parole.
Mon âme attend le Seigneur
plus qu’un veilleur ne guette l’aurore.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Crier depuis les profondeurs. Crier sans voir le ciel, d’un cri de désespoir, le cri de la prière dans une longue nuit dont on attend l’aurore. Je pense à toutes celles et ceux qui souffrent mais qui n’oublient pas de se tourner vers Dieu. Je pense au cœur de Jésus qui aime et prend pitié.
2. “Près de toi Seigneur, se trouve le pardon”. Je me représente le jeune saint Jean qui approche sa tête de la poitrine de Jésus, tout contre son cœur. Est-ce que moi, j’ose me placer en imagination tout près du cœur de Jésus ?
3. Dans ce psaume, tout peut me parler de la croix du Christ. Le cœur de Jésus contient assez d’amour pour nous rejoindre par sa croix. La croix qui est le miroir de toutes nos souffrances humaines, le passage de Dieu lui-même par notre cri. La croix, qui est le lieu de notre salut. Je médite cela.
Je médite les mots de ce psaume dans mon cœur, avec cette nouvelle écoute.
Dans un temps de cœur à cœur avec Dieu, je lui exprime ma demande. Et je prends un temps de silence pour percevoir son écoute attentive et bienveillante.
J’écoute cette prière de Saint Claude la Colombière :
Je sens en moi une grande volonté de vous plaire,
et une plus grande impuissance d'en venir à bout
sans une lumière et un secours très particuliers que je ne puis attendre que de vous.
Faites en moi votre volonté, Seigneur;
je m'y oppose, je le sens bien, mais je voudrais bien ne pas m'y opposer :
c'est à vous à tout faire, divin Cœur de Jésus-Christ, vous seul aurez toute la gloire de ma sanctification, si je me fais saint ;
cela me paraît plus clair que le jour;
mais ce sera pour vous une grande gloire,
et c'est pour cela seulement que je veux désirer la perfection.
Ainsi soit-il.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.
Aujourd'hui nous sommes le jeudi 16 octobre et nous faisons mémoire de sainte Marguerite-Marie Alacoque, une religieuse du 17ème siècle, de l’ordre de la Visitation, mystique et inspiratrice du culte du Sacré-Cœur de Jésus.
Marguerite-Marie a eu plusieurs visions du Christ lui disant : “Voici le cœur qui a tant aimé les hommes”. Je demande au Seigneur que mon cœur puisse davantage ressembler à celui du Christ, un cœur humain au cœur de Dieu. Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.
Nous écoutons le chant “Voici ce coeur qui a tant aimé les hommes” de la Communauté de l’Emmanuel.
R. Voici ce cœur,
Qui a tant aimé les hommes.
Voici ce cœur,
Qui s’est livré pour le monde.
Voici ce cœur, qui a soif de toi.
1. Jésus, Dieu de ma vie, que ton amour
Est admirable pour moi.
Tu m’aimes, tu me désires, me cherches,
Comme si j’étais nécessaire.
Tu me désires comme un véritable trésor.
2. Tu cherches mon amitié
Pour en faire ton bonheur.
Seigneur, pourrais-tu en faire
Davantage pour moi ?
Ô bonté, je me perds dans l’infini de ton amour.
3. Que répondre à ces voix qui m’invitent à t’aimer ?
Je veux que toutes mes pensées, mes paroles et actions,
Tous les instants de ma vie
Et même tous mes péchés se transforment
En autant de voix qui disent éternellement :
« Mon Seigneur Jésus, je t’aime ».
4. Seigneur Jésus, mon Sauveur, je te bénis
Et t’adore de toute mon âme.
Je choisis aujourd’hui ton divin cœur
La lecture de ce jour est le psaume 129.
Des profondeurs je crie vers toi, Seigneur,
Seigneur, écoute mon appel !
Que ton oreille se fasse attentive
au cri de ma prière !
Si tu retiens les fautes, Seigneur,
Seigneur, qui subsistera ?
Mais près de toi se trouve le pardon
pour que l’homme te craigne.
J’espère le Seigneur de toute mon âme ;
je l’espère, et j’attends sa parole.
Mon âme attend le Seigneur
plus qu’un veilleur ne guette l’aurore.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Crier depuis les profondeurs. Crier sans voir le ciel, d’un cri de désespoir, le cri de la prière dans une longue nuit dont on attend l’aurore. Je pense à toutes celles et ceux qui souffrent mais qui n’oublient pas de se tourner vers Dieu. Je pense au cœur de Jésus qui aime et prend pitié.
2. “Près de toi Seigneur, se trouve le pardon”. Je me représente le jeune saint Jean qui approche sa tête de la poitrine de Jésus, tout contre son cœur. Est-ce que moi, j’ose me placer en imagination tout près du cœur de Jésus ?
3. Dans ce psaume, tout peut me parler de la croix du Christ. Le cœur de Jésus contient assez d’amour pour nous rejoindre par sa croix. La croix qui est le miroir de toutes nos souffrances humaines, le passage de Dieu lui-même par notre cri. La croix, qui est le lieu de notre salut. Je médite cela.
Je médite les mots de ce psaume dans mon cœur, avec cette nouvelle écoute.
Dans un temps de cœur à cœur avec Dieu, je lui exprime ma demande. Et je prends un temps de silence pour percevoir son écoute attentive et bienveillante.
J’écoute cette prière de Saint Claude la Colombière :
Je sens en moi une grande volonté de vous plaire,
et une plus grande impuissance d'en venir à bout
sans une lumière et un secours très particuliers que je ne puis attendre que de vous.
Faites en moi votre volonté, Seigneur;
je m'y oppose, je le sens bien, mais je voudrais bien ne pas m'y opposer :
c'est à vous à tout faire, divin Cœur de Jésus-Christ, vous seul aurez toute la gloire de ma sanctification, si je me fais saint ;
cela me paraît plus clair que le jour;
mais ce sera pour vous une grande gloire,
et c'est pour cela seulement que je veux désirer la perfection.
Ainsi soit-il.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.