Aujourd'hui, nous sommes le vendredi 5 septembre et nous fêtons sainte mère Teresa de Calcutta.
Au début de ce temps de prière, je me place devant Dieu. Je rassemble mes pensées pour me tourner avec tout mon être vers Lui. Je demande à Dieu de faire miennes ces paroles du psaume et de reconnaître combien il prend soin de moi dans ma vie. Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
Avant d’entendre la parole de Dieu, nous vous proposons d’écouter ces paroles de mère Teresa : “Fais le quand même”.
Les gens sont souvent déraisonnables, illogiques et centrés sur eux- mêmes, pardonne-les quand même.
Si tu es gentil, les gens peuvent t'accuser d'être égoïste et d'avoir des arrière-pensées, sois gentil quand même.
Si tu réussis, tu trouveras des faux amis et des vrais ennemis, réussis quand même.
Si tu es honnête et franc, il se peut que les gens abusent de toi, sois honnête et franc quand même.
Ce que tu as mis des années à construire, quelqu'un pourrait le détruire en une nuit, construis quand même.
Si tu trouves la sérénité et la joie, ils pourraient être jaloux, sois heureux quand même.
Le bien que tu fais aujourd'hui, les gens l'auront souvent oublié demain, fais le bien quand même.
Donne au monde le meilleur que tu as, et il se pourrait que cela ne soit jamais assez, donne au monde le meilleur que tu as quand même.
Tu vois, en faisant une analyse finale, c'est une histoire entre toi et Dieu, cela n'a jamais été entre eux et toi.
La lecture de ce jour est tirée du psaume 99.
Acclamez le Seigneur, terre entière,
Servez le Seigneur dans l’allégresse,
Venez à lui avec des chants de joie !
Reconnaissez que le Seigneur est Dieu :
Il nous a faits, et nous sommes à lui,
Nous, son peuple, son troupeau.
Venez dans sa maison lui rendre grâce,
Dans sa demeure chanter ses louanges ;
Rendez-lui grâce et bénissez son nom !
Oui, le Seigneur est bon,
Éternel est son amour,
Sa fidélité demeure d’âge en âge.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. “Il nous a faits, et nous sommes à lui, nous, son peuple, son troupeau.” Je me place dans une grande foule. Les gens que j’aime, les croyants pleins de ferveurs, les incroyants, femmes et hommes de toutes couleurs, de tous âges et de toute situation… J’imagine le regard miséricordieux et plein d’amour de Dieu sur toute cette assemblée.
2. « Venez dans sa maison lui rendre grâce », appelle le psalmiste. Quelle est cette maison, cette demeure, où habite Dieu ? Je me représente cette maison où Dieu m'accueille. Comment est-elle ? Quand je suis seule. Quand tout un peuple se rassemble pour le rencontrer.
3. « La fidélité de Dieu demeure d'âge en âge ». Je prends le temps de faire mémoire de la façon dont le Seigneur demeure, reste à mes côtés, quand tout va bien mais aussi dans la difficulté. Si je le trouve absent, je lui dis.
En écoutant à nouveau ce passage, je choisis un verset qui me porte et j'essaie de le mémoriser pour pouvoir le ruminer aujourd’hui.
Je me tourne vers Dieu. Je lui parle comme un ami parle à un ami ou de la façon qui me semblera bonne. Je peux lui confier une connaissance ou un ami, pour que grandisse davantage en lui la confiance en l’amour dont il est aimé.
Prends Seigneur, et reçois
toute ma liberté,
ma mémoire, mon intelligence
et toute ma volonté.
Tout ce que j’ai et tout ce que je possède.
C’est toi qui m’as tout donné, à toi, Seigneur, je le rends.
Tout est à toi, disposes-en selon ton entière volonté.
Donne-moi seulement de t’aimer
et donne-moi ta grâce, elle seule me suffit.
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
l nous a faits, et nous sommes à lui,
Nous, son peuple, son troupeau.
Venez dans sa maison lui rendre grâce,
Dans sa demeure chanter ses louanges ;
Rendez-lui grâce et bénissez son nom !
Oui, le Seigneur est bon,
Éternel est son amour,
Sa fidélité demeure d’âge en âge.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. “Il nous a fait et nous sommes à lui. Nous son peuple son troupeau.” Je me place dans une grande foule. Les gens que j’aime, les croyants pleins de ferveurs, les incroyants, femmes et hommes de toutes couleurs, de tous âges et de toute situation… J’imagine le regard miséricordieux et plein d’amour de Dieu sur toute cette assemblée.
2. « Venez dans sa maison lui rendre grâce », appelle le psalmiste. Quelle est cette maison, cette demeure, où habite Dieu ? Je me représente cette maison où Dieu m'accueille. Comment est-elle ? Quand je suis seule. Quand tout un peuple se rassemble pour le rencontrer.
3. « La fidélité de Dieu demeure d'âge en âge ». Je prends le temps de faire mémoire de la façon dont le Seigneur demeure, reste à mes côtés, quand tout va bien mais aussi dans la difficulté. Si je le trouve absent, je lui dis.
En écoutant à nouveau ce passage, je choisis un verset qui me porte et j'essaie de le mémoriser pour pouvoir le ruminer aujourd’hui.
Je me tourne vers Dieu. Je lui parle comme un ami parle à un ami ou de la façon qui me semblera bonne. Je peux lui confier une connaissance ou un ami, pour que grandisse davantage en lui la confiance en l’amour dont il est aimé.
Prends Seigneur, et reçois
toute ma liberté,
ma mémoire, mon intelligence
et toute ma volonté.
Tout ce que j’ai et tout ce que je possède.
C’est toi qui m’as tout donné, à toi, Seigneur, je le rends.
Tout est à toi, disposes-en selon ton entière volonté.
Donne-moi seulement de t’aimer
et donne-moi ta grâce, elle seule me suffit.
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
Aujourd'hui, nous sommes le vendredi 5 septembre et nous fêtons sainte mère Teresa de Calcutta.
Au début de ce temps de prière, je me place devant Dieu. Je rassemble mes pensées pour me tourner avec tout mon être vers Lui. Je demande à Dieu de faire miennes ces paroles du psaume et de reconnaître combien il prend soin de moi dans ma vie. Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen
Avant d’entendre la parole de Dieu, nous vous proposons d’écouter ces paroles de mère Teresa : “Fais le quand même”.
Les gens sont souvent déraisonnables, illogiques et centrés sur eux- mêmes, pardonne-leur quand même.
Si tu es gentil, les gens peuvent t'accuser d'être égoïste et d'avoir des arrière-pensées, sois gentil quand même.
Si tu réussis, tu trouveras des faux amis et des vrais ennemis, réussis quand même.
Si tu es honnête et franc, il se peut que les gens abusent de toi, sois honnête et franc quand même.
Ce que tu as mis des années à construire, quelqu'un pourrait le détruire en une nuit, construis quand même.
Si tu trouves la sérénité et la joie, ils pourraient être jaloux, sois heureux quand même.
Le bien que tu fais aujourd'hui, les gens l'auront souvent oublié demain, fais le bien quand même.
Donne au monde le meilleur que tu as, et il se pourrait que cela ne soit jamais assez, donne au monde le meilleur que tu as quand même.
Tu vois, en faisant une analyse finale, c'est une histoire entre toi et Dieu, cela n'a jamais été entre eux et toi.
La lecture de ce jour est tirée du psaume 99.
Acclamez le Seigneur, terre entière,
servez le Seigneur dans l’allégresse,
venez à lui avec des chants de joie !
Reconnaissez que le Seigneur est Dieu :
Il nous a faits, et nous sommes à lui,
Nous, son peuple, son troupeau.
Venez dans sa maison lui rendre grâce,
Dans sa demeure chanter ses louanges ;
Rendez-lui grâce et bénissez son nom !
Oui, le Seigneur est bon,
Éternel est son amour,
Sa fidélité demeure d’âge en âge.
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. “Il nous a fait et nous sommes à lui. Nous son peuple son troupeau.” Je me place dans une grande foule. Les gens que j’aime, les croyants pleins de ferveurs, les incroyants, femmes et hommes de toutes couleurs, de tous âges et de toute situation… J’imagine le regard miséricordieux et plein d’amour de Dieu sur toute cette assemblée.
2. « Venez dans sa maison lui rendre grâce », appelle le psalmiste. Quelle est cette maison, cette demeure, où habite Dieu ? Je me représente cette maison où Dieu m'accueille. Comment est-elle ? Quand je suis seule. Quand tout un peuple se rassemble pour le rencontrer.
3. « La fidélité de Dieu demeure d'âge en âge ». Je prends le temps de faire mémoire de la façon dont le Seigneur demeure, reste à mes côtés, quand tout va bien mais aussi dans la difficulté. Si je le trouve absent, je lui dis.
En écoutant à nouveau ce passage, je choisis un verset qui me porte et j'essaie de le mémoriser pour pouvoir le ruminer aujourd’hui.
Je me tourne vers Dieu. Je lui parle comme un ami parle à un ami ou de la façon qui me semblera bonne. Je peux lui confier une connaissance ou un ami, pour que grandisse davantage en lui la confiance en l’amour dont il est aimé.
Prends Seigneur, et reçois
toute ma liberté,
ma mémoire, mon intelligence
et toute ma volonté.
Tout ce que j’ai et tout ce que je possède.
C’est toi qui m’as tout donné, à toi, Seigneur, je le rends.
Tout est à toi, disposes-en selon ton entière volonté.
Donne-moi seulement de t’aimer
et donne-moi ta grâce, elle seule me suffit.
Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit. Amen