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A Dieu, pape François
Si le départ du Saint-Père peut nous laisser dans un désarroi, nous pouvons aussi être reconnaissants pour l'œuvre que le pape François a laissé derrière lui. Un instant, je me tourne vers Dieu et lui exprime ma gratitude d’avoir choisi cet homme ainsi que pour les œuvres qu’il a réalisées pour notre Église.
Le pape François a offert à tous une parole d’espérance. Je repense à ses écrits : "Laudato Si" qui nous invite à une conversion dans notre relation à la création ainsi qu'à "Fratelli tutti" qui nous invite cette fois, à une conversion dans nos relations avec nos frères et sœurs. Deux ouvrages qui cherchent à s’attaquer aux causes de tant d’injustices et à promouvoir la réconciliation. Un instant je fais mémoire d’une parole, d'un élan reçu du Pape dans cette dynamique.
François avait aussi à cœur de permettre une participation plus grande de tous les baptisés à la vie de l’Église. Ce « cheminer ensemble » s’est traduit concrètement par les différents synodes au cours de son pontificat, jusqu’au synode sur la synodalité, qui interroge l’Église universelle sur sa manière de cheminer ensemble, riche de la diversité de nos états de vie. Avec le pape François, je contemple l’Eglise qui ose s’ouvrir et cheminer, guidée par l’Esprit Saint.
Je fais maintenant mémoire d’un trait constant du pontificat du pape François : son appel à la joie, notamment dans "Evangelii Gaudium"; une joie qui provient du Crucifié-Ressuscité ainsi que de l’Évangile. Au début de ce temps pascal, à quelle joie le Christ m’invite ? Quel disciple-missionnaire suis-je appelée à être ?
« S’il vous plaît, n’oubliez pas de prier pour moi. » Cette demande entendue le soir même de son élection sera inlassablement répétée à chacune de ses interventions. Pour lui, la prière naît de la confiance et de la familiarité avec Dieu. L’évêque de Rome a souvent dit que la prière personnelle et communautaire des chrétiens est le battement du cœur de l'Église. Je médite cela.
Je prends le temps, à présent, de confier dans ma prière le Pape François dans sa rencontre définitive avec Dieu, amour inconditionnel et miséricorde infinie.
Le pape François a offert à tous une parole d’espérance. Je repense à ses écrits : "Laudato Si" qui nous invite à une conversion dans notre relation à la création ainsi qu'à "Fratelli tutti" qui nous invite cette fois, à une conversion dans nos relations avec nos frères et sœurs. Deux ouvrages qui cherchent à s’attaquer aux causes de tant d’injustices et à promouvoir la réconciliation. Un instant je fais mémoire d’une parole, d'un élan reçu du Pape dans cette dynamique.
François avait aussi à cœur de permettre une participation plus grande de tous les baptisés à la vie de l’Église. Ce « cheminer ensemble » s’est traduit concrètement par les différents synodes au cours de son pontificat, jusqu’au synode sur la synodalité, qui interroge l’Église universelle sur sa manière de cheminer ensemble, riche de la diversité de nos états de vie. Avec le pape François, je contemple l’Eglise qui ose s’ouvrir et cheminer, guidée par l’Esprit Saint.
Je fais maintenant mémoire d’un trait constant du pontificat du pape François : son appel à la joie, notamment dans "Evangelii Gaudium"; une joie qui provient du Crucifié-Ressuscité ainsi que de l’Évangile. Au début de ce temps pascal, à quelle joie le Christ m’invite ? Quel disciple-missionnaire suis-je appelée à être ?
« S’il vous plaît, n’oubliez pas de prier pour moi. » Cette demande entendue le soir même de son élection sera inlassablement répétée à chacune de ses interventions. Pour lui, la prière naît de la confiance et de la familiarité avec Dieu. L’évêque de Rome a souvent dit que la prière personnelle et communautaire des chrétiens est le battement du cœur de l'Église. Je médite cela.
Je prends le temps, à présent, de confier dans ma prière le Pape François dans sa rencontre définitive avec Dieu, amour inconditionnel et miséricorde infinie.
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