Relecture de la 2ème semaine de l'Avent

Où est-ce que l'extraordinaire rencontre l'ordinaire dans ma vie ?

Écouter

Pause

Retour en arrière

Relecture de la 2ème semaine de l'Avent

Écouter

Pause

Aujourd’hui, samedi 16 décembre, je m'apprête à relire la deuxième semaine de l’Avent, pour trouver dans ma vie ordinaire ce qu’il y a d’extraordinaire.
Avant de démarrer ma prière je vérifie comment je suis installé(e), comment je me sens. Je prends le temps de respirer profondément.

Je me dispose à la prière en appelant Dieu intérieurement. Je me présente au Seigneur avec respect. Je demande d’ouvrir mon regard à sa présence dans ma vie. Et de voir, dans mon quotidien, dans le fil de mes jours, ce qu’il y a d’extraordinaire, d’invitation de Dieu.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit, Amen.

Je demande maintenant au Seigneur de stimuler ma mémoire pour que je me rappelle de ma semaine dans ses détails ordinaires. Je prends quelques minutes en silence pour en faire revenir le cours en me promenant à travers les lieux où je suis passé(e).
En me souvenant de mon emploi du temps, j’essaie aussi de reconnaître dans quel état je suis durablement resté après chaque activité marquante.

1. Je commence par prendre conscience de mon rythme de vie cette semaine. Est-ce que j’ai su prendre le temps de la disponibilité à l'extraordinaire? Quand est-ce que j’ai couru ? Quand est-ce que j’ai prié ?

2. “Je planterai dans le désert le cèdre et l’acacia, le myrte et l’olivier” dit le Seigneur dans Isaïe. Je repère dans ma semaine des petites pousses semées par le Seigneur. Où puis-je reconnaître un don gratuit dans ma vie cette semaine ? Une parole qui fait du bien, une surprise heureuse, un surgissement d'opportunités étonnantes ?

3. Cette semaine, l'évangile de Saint Matthieu a parlé d’enfants à qui on propose de danser sur les places mais qui restent assis. Quand est-ce que je me suis émerveillé cette semaine ? Quand est-ce que j’ai pu dire du bien des autres, du monde, de Dieu ? Donner mon attention à ce qui était petit et discret ? Je peux me remémorer aussi les moments où j’ai été peut-être aveugle à ce qui était bon, offert, subtil.

4. Je prends un temps pour adresser directement au Christ les remerciements, les demandes de pardon, ou les intentions qui montent de ma prière.

Notre Père

Si je le souhaite, je peux prendre le temps après cette méditation, d’écrire ce que je retiens de ce dialogue avec Dieu, pour pouvoir relire mon chemin.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint Esprit Amen.

:
: