Samedi 27 janvier
Evangile du jour : Mc 4, 35-41
Aujourd'hui nous sommes le samedi 27 janvier et nous fêtons Sainte Angèle Merici.
En cette fin de semaine, j’entre en prière en me remémorant ma semaine et tout particulièrement les moments de peur ou d’angoisse qui ont pu se produire pour moi. Jésus domine la tempête, il domine les forces de peur et d’angoisse. Je demande la grâce de la confiance. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 4 de l’évangile selon Saint Marc.
Ce jour-là, le soir venu, Jésus dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive. » Quittant la foule, ils emmenèrent Jésus, comme il était, dans la barque, et d’autres barques l’accompagnaient. Survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait. Lui dormait sur le coussin à l’arrière. Les disciples le réveillent et lui disent : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? » Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais-toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme. Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? » Saisis d’une grande crainte, ils se disaient entre eux : « Qui est-il donc, celui-ci, pour que même le vent et la mer lui obéissent ? »
Textes liturgiques © AELF, Paris
Point 1
Les disciples sont dans une situation critique : une très forte tempête. Objectivement, la barque prend l’eau, mais ils sont encore à flots. Ils se croient morts, mais ils sont encore en vie. Ai-je déjà traversé ces tempêtes où la peur me fait entrevoir comme un danger inévitable ?
Point 2
Face à la menace de mort, ou face à l’impasse de la situation, les disciples ne voient aucune solution possible. Il n’y a plus rien à faire, même Jésus ne peut rien, il semble à côté de l’enjeu. Les disciples l’éclairent même sur la gravité de la situation. Quand ai-je l’impression que Dieu ne me comprend pas ? Qu’il ne se rend pas compte de la situation ?
Point 3
Jésus, avec une facilité déconcertante, fait redescendre la peur de mourir. La barque ne coule pas, les peurs ne l’ont pas fait sombrer. Il a fait taire le désespoir pour remettre les disciples dans la vie. Seigneur, tu sais me remettre dans la vie, aide-moi à te confier mes peurs pour rouvrir des chemins d’espérance.
En réécoutant ce passage, je peux essayer de repérer le personnage ou l’attitude qui dit le mieux une situation que j’ai en mémoire et qui me travaille.
Face à ce Jésus qui sécurise nos routes avec une force incroyable, quelle lumière ou quelle assurance ai-je envie de lui confier ?
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen
En cette fin de semaine, j’entre en prière en me remémorant ma semaine et tout particulièrement les moments de peur ou d’angoisse qui ont pu se produire pour moi. Jésus domine la tempête, il domine les forces de peur et d’angoisse. Je demande la grâce de la confiance. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 4 de l’évangile selon Saint Marc.
Ce jour-là, le soir venu, Jésus dit à ses disciples : « Passons sur l’autre rive. » Quittant la foule, ils emmenèrent Jésus, comme il était, dans la barque, et d’autres barques l’accompagnaient. Survient une violente tempête. Les vagues se jetaient sur la barque, si bien que déjà elle se remplissait. Lui dormait sur le coussin à l’arrière. Les disciples le réveillent et lui disent : « Maître, nous sommes perdus ; cela ne te fait rien ? » Réveillé, il menaça le vent et dit à la mer : « Silence, tais-toi ! » Le vent tomba, et il se fit un grand calme. Jésus leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs ? N’avez-vous pas encore la foi ? » Saisis d’une grande crainte, ils se disaient entre eux : « Qui est-il donc, celui-ci, pour que même le vent et la mer lui obéissent ? »
Textes liturgiques © AELF, Paris
Point 1
Les disciples sont dans une situation critique : une très forte tempête. Objectivement, la barque prend l’eau, mais ils sont encore à flots. Ils se croient morts, mais ils sont encore en vie. Ai-je déjà traversé ces tempêtes où la peur me fait entrevoir comme un danger inévitable ?
Point 2
Face à la menace de mort, ou face à l’impasse de la situation, les disciples ne voient aucune solution possible. Il n’y a plus rien à faire, même Jésus ne peut rien, il semble à côté de l’enjeu. Les disciples l’éclairent même sur la gravité de la situation. Quand ai-je l’impression que Dieu ne me comprend pas ? Qu’il ne se rend pas compte de la situation ?
Point 3
Jésus, avec une facilité déconcertante, fait redescendre la peur de mourir. La barque ne coule pas, les peurs ne l’ont pas fait sombrer. Il a fait taire le désespoir pour remettre les disciples dans la vie. Seigneur, tu sais me remettre dans la vie, aide-moi à te confier mes peurs pour rouvrir des chemins d’espérance.
En réécoutant ce passage, je peux essayer de repérer le personnage ou l’attitude qui dit le mieux une situation que j’ai en mémoire et qui me travaille.
Face à ce Jésus qui sécurise nos routes avec une force incroyable, quelle lumière ou quelle assurance ai-je envie de lui confier ?
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen
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