Nous sommes aujourd’hui le dimanche 26 janvier, le 3ème dimanche du temps ordinaire.
Dans la mesure du possible, le dimanche offre un temps de repos et de sanctification. La communauté chrétienne se rassemble pour célébrer l’eucharistie, et à titre personnel je vais prier quelques instants avec la Parole de Dieu.
Je me mets en présence du Seigneur. Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.
Nous écoutons le chant “Aube nouvelle” chanté par l’ensemble vocal l’Alliance.
Nous prions avec l’évangile de ce dimanche, extrait du début de saint Luc, au chapitre 1 et 4.
Beaucoup ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accNous sommes aujourd’hui le dimanche 26 janvier, le 3ème dimanche du temps ordinaire. Dans la mesure du possible, le dimanche offre un temps de repos et de sanctification. La communauté chrétienne se rassemble pour célébrer l’eucharistie, et à titre personnel je vais prier quelques instants avec la Parole de Dieu.
Je me mets en présence du Seigneur. Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.
Nous écoutons le chant “Aube nouvelle” chanté par l’ensemble vocal l’Alliance.
Nous prions avec l’évangile de ce dimanche, extrait du début de saint Luc, chapitres 1 et 4.
Beaucoup ont entrepris de composer un récit des événements qui se sont accomplis parmi nous, d’après ce que nous ont transmis ceux qui, dès le commencement, furent témoins oculaires et serviteurs de la Parole. C’est pourquoi j’ai décidé, moi aussi, après avoir recueilli avec précision des informations concernant tout ce qui s’est passé depuis le début, d’écrire pour toi, excellent Théophile, un exposé suivi, afin que tu te rendes bien compte de la solidité des enseignements que tu as entendus. En ce temps-là, lorsque Jésus, dans la puissance de l’Esprit, revint en Galilée, sa renommée se répandit dans toute la région. Il enseignait dans les synagogues, et tout le monde faisait son éloge. Il vint à Nazareth, où il avait été élevé. Selon son habitude, il entra dans la synagogue le jour du sabbat, et il se leva pour faire la lecture. On lui remit le livre du prophète Isaïe. Il ouvrit le livre et trouva le passage où il est écrit : L’Esprit du Seigneur est sur moi parce que le Seigneur m’a consacré par l’onction. Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres, annoncer aux captifs leur libération, et aux aveugles qu’ils retrouveront la vue, remettre en liberté les opprimés, annoncer une année favorable accordée par le Seigneur. Jésus referma le livre, le rendit au servant et s’assit. Tous, dans la synagogue, avaient les yeux fixés sur lui. Alors il se mit à leur dire : « Aujourd’hui s’accomplit ce passage de l’Écriture que vous venez d’entendre »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. « Pour toi, excellent Théophile ». Théophile, l’ami de Dieu. Ce Théophile auquel Luc adresse son évangile, est-ce que ça pourrait être moi ? Ne suis-je pas, moi aussi, « celui qui aime Dieu » ? Ai-je conscience que les évangiles sont un trésor qui m’est destinée ? Puisque l’année liturgique nouvelle sera une année « Saint Luc », que pourrais je imaginer pour connaître et approfondir cet évangile ? Je fais le point là-dessus.
2. On lui remit le livre du prophète Isaïe. Chez Luc, la vie publique de Jésus commence donc ainsi : il ouvre la Bible et annonce l’accomplissement des Écritures. « Aujourd’hui, cette parole s’accomplit. » Sur le seuil de l’année liturgique, il m’est proposé de faire mémoire de l’Ancien Testament. Je me représente la longue espérance de l’humanité, tendue vers un salut depuis la nuit des temps. J’imagine le long travail de Dieu, préparant les cœurs à la venue de Jésus. Je confie à Dieu l’humanité en attente.
3. « Il m’a envoyé porter la Bonne Nouvelle aux pauvres. » Les premiers destinataires du salut, ce sont donc les pauvres, les pauvres de toutes sortes : pauvres en moyens de subsistance, pauvres en amour et amitié, pauvres en aptitudes et talents, pauvres dans leur corps et dans leur âme. Je laisse venir à moi ces visages qui seront pour Jésus ses préférés. Je les lui présente. Et je me glisse peut-être parmi eux, avec mes pauvretés.
Nous écoutons à nouveau l’évangile de ce dimanche.
Porté par cette page d’évangile, je m’adresse au Seigneur par quelques mots personnels : mots de remerciement, d’offrande ou de demande, mots de louange ou de supplication, selon ce qui convient.
Et pour finir ma prière, je me joins à l’Eglise entière pour réciter :
Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen.