Dimanche 25 mai

Lecture du jour : Ap 21, 10-14.22-23

"La ville n’a pas besoin du soleil ni de la lune pour l’éclairer, car la gloire de Dieu l’illumine" Ap 21, 10-14.22-23

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Dimanche 25 mai

Lecture du jour : Ap 21, 10-14.22-23

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Aujourd'hui nous sommes le dimanche 25 mai dans la 6ème Semaine du Temps Pascal.

En ce dimanche qui marque le début de la semaine, je me présente devant toi Seigneur. Donne-moi de me nourrir de ta présence et de ta parole. Au nom du Père, et du Fils et du saint Esprit. Amen

Nous écoutons “Gloire à l’agneau”, un chant de Nadège Jean & Hosanna.
Gloire, gloire, gloire à l'agneau (bis)
Car Il est glorieux
Et Digne de régner
L'agneau est souverain

Nous élevons nos voix pour l'adorer
L'agneau est souverain

La lecture de ce jour est tirée du chapitre 21 du livre de l’Apocalypse.

Moi, Jean, j’ai vu un ange. En esprit, il m’emporta sur une grande et haute montagne ; il me montra la Ville sainte, Jérusalem, qui descendait du ciel, d’auprès de Dieu : elle avait en elle la gloire de Dieu ; son éclat était celui d’une pierre très précieuse, comme le jaspe cristallin.
Elle avait une grande et haute muraille, avec douze portes et, sur ces portes, douze anges ; des noms y étaient inscrits : ceux des douze tribus des fils d’Israël.
Il y avait trois portes à l’orient, trois au nord, trois au midi, et trois à l’occident. La muraille de la ville reposait sur douze fondations portant les douze noms des douze Apôtres de l’Agneau.
Dans la ville, je n’ai pas vu de sanctuaire, car son sanctuaire, c’est le Seigneur Dieu, Souverain de l’univers, et l’Agneau.
La ville n’a pas besoin du soleil ni de la lune pour l’éclairer, car la gloire de Dieu l’illumine : son luminaire, c’est l’Agneau.

Textes liturgiques © AELF, Paris

1. L’apocalypse est le dernier livre de la Bible, un livre mystique qui en récapitule le message. Je me place aux côtés de Jean avec l’ange et je contemple cette Jérusalem nouvelle qui descend du ciel : éclatante comme une pierre précieuse, avec de hautes murailles. Qu’est-ce que m’évoque ce symbole ?

2. Il est dit ensuite que toute la ville repose sur « douze fondations portant les douze noms des douze Apôtres de l’Agneau. » Ces fondations sont des êtres humains comme moi, avec leurs talents, leurs limites, leurs fragilités. Qu’est-ce qui m’empêche alors de les rejoindre pour devenir à mon tour, pierre de fondation…

3. Pour finir Jean souligne que « Dans la ville, je n’ai pas vu de sanctuaire » car le sanctuaire « c’est le Seigneur Dieu ». Le sanctuaire est donc une présence qui emplit toute la ville, une présence qui emplit toute vie. Je fais mémoire des personnes auprès desquelles, dans les jours passés, j’ai pu remarquer cette présence.

A nouveau, j’écoute le récit de cette étonnante vision de la Jérusalem céleste.

A la fin de ce temps de prière, je me tourne vers Dieu. Je m’adresse à lui avec simplicité. Je peux lui demander de devenir davantage ‘pierre vivante’ de son église ou bien de garder un regard émerveillé sur le monde, pour y discerner sa présence.

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen

Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, amen

Musiques

Reflections de Joseph Nimoh interprété par Joseph Nimoh
«Reflections» © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes voir la licence de Magnatunes

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