Aujourd'hui nous sommes le mercredi 24 Avril de la 4ème semaine du Temps Pascal. Au début de ce temps de prière, j’invoque la présence du Seigneur et je demande humblement la grâce d’ouvrir mon cœur à sa parole Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen

Nous écoutons Alleluia, lumière des nations.

La lecture de ce jour est tirée du chapitre 12 de l’évangile de Jésus Christ selon saint Jean.

En ce temps-là, Jésus s’écria : « Celui qui croit en moi, ce n’est pas en moi qu’il croit, mais en Celui qui m’a envoyé ; et celui qui me voit voit Celui qui m’a envoyé. Moi qui suis la lumière, je suis venu dans le monde pour que celui qui croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres. Si quelqu’un entend mes paroles et n’y reste pas fidèle, moi, je ne le juge pas, car je ne suis pas venu juger le monde, mais le sauver. Celui qui me rejette et n’accueille pas mes paroles aura, pour le juger, la parole que j’ai prononcée : c’est elle qui le jugera au dernier jour. Car ce n’est pas de ma propre initiative que j’ai parlé : le Père lui-même, qui m’a envoyé, m’a donné son commandement sur ce que je dois dire et déclarer ; et je sais que son commandement est vie éternelle. Donc, ce que je déclare, je le déclare comme le Père me l’a dit. »

Textes liturgiques © AELF, Paris

Point 1
J’entends Jésus s’écrier en s’adressant à la foule. Je suis attentif à ce que cela provoque en moi. La force de Jésus qui s’exprime. Il y met toute son énergie. Je me laisse toucher par celle-ci qui donne la tonalité de son message.

Point 2
« Moi qui suis la lumière, je suis venu dans le monde pour que celui qui croit en moi ne demeure pas dans les ténèbres » dit Jésus. Je médite ces paroles. Et moi, est-ce que je peux ou pas voir la lumière que me propose Jésus pour ma vie.

Point 3
“Je ne suis pas venu juger le monde, mais le sauver” dit Jésus. Je m’arrête sur ces paroles. Est-ce que je peux accueillir aujourd’hui l’amour inconditionnel du Seigneur venu pour me sauver ? Qu’est-ce que ce constat me fait ?

Maintenant, je vais peut-être entendre autrement ce passage biblique.

Je suis attentif à ce temps d’échange avec Jésus après ma prière. Je pourrais lui dire comment j’ai vécu ce temps, lui dire peut être ce qui a bougé depuis ma demande de grâce.

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen