Aujourd'hui nous sommes le jeudi 15 mai et nous faisons mémoire de saint André Bobola.
Jésuite du XVII° siècle, André Bobola fut un grand prédicateur, qui chercha à réconcilier catholiques et orthodoxes dans l'Est de la Pologne. Il poussa cet engagement jusqu'au martyre, par les mains des cosaques. Il est l'un des saints patrons de la Pologne. A son image, je demande à Dieu de faire de moi un instrument de paix et de réconciliation. Au nom du Père, du Fils, et du Saint Esprit, amen.
Nous pouvons écouter en polonais, le chant “Barka” de Stanisław Szmidt, un chant qu’aimait tout particulièrement le Pape saint Jean-Paul II. Dans ce chant, le Christ nous invite à laisser sa barque pour le suivre.
Pan kiedyś stanął nad brzegiem
Szukał ludzi gotowych pójść za Nim
By łowić serca słów bożych prawdą
R/ O Panie, to Ty na mnie spojrzałeś
Twoje usta dziś wyrzekły Twe imię
Swoją barkę pozostawiam na brzegu
Razem z Tobą nowy zacznę dziś łów
Jestem ubogim człowiekiem
Moim skarbem są ręce gotowe
Do pracy z Tobą i czyste serce
Ty potrzebujesz mych dłoni
Mego serca młodego zapałem
Mych kropli potu i samotności
Traduction du chant religieux qu'aimait particulièrement le Pape saint Jean-Paul II.
Le Christ, debout sur le rivage.
Celui-ci à cherché des hommes prêts à le suivre.
Pour pêcher le cœur et prêcher la Sainte parole de Dieu.
R/ Oh, Seigneur, Toi qui m'a regardé, Toi qui m'a trouvé.
Aujourd'hui, tes lèvres ont prononcé mon nom.
Ma barque, laissée sur la rive.
Seulement avec Toi, ta présence, une nouvelle pêche débutera.
Moi, je suis un homme pauvre.
Mon unique trésor se reflète dans mes mains calleuses, prêtes au travail.
Avec Toi et un cœur pur, simple et humble.
Toi, tu as besoin de mes mains,
De mon cœur toujours exalté et jeune.
De mes gouttes de sueur et de ma solitude.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 13 de l’évangile selon saint Jean.
Après avoir lavé les pieds de ses disciples, Jésus parla ainsi :
« Amen, amen, je vous le dis : un serviteur n’est pas plus grand que son maître, ni un envoyé plus grand que celui qui l’envoie. Sachant cela, heureux êtes-vous, si vous le faites. Ce n’est pas de vous tous que je parle. Moi, je sais quels sont ceux que j’ai choisis, mais il faut que s’accomplisse l’Écriture : Celui qui mange le pain avec moi m’a frappé du talon. Je vous dis ces choses dès maintenant, avant qu’elles n’arrivent ; ainsi, lorsqu’elles arriveront, vous croirez que moi, JE SUIS. Amen, amen, je vous le dis : si quelqu’un reçoit celui que j’envoie, il me reçoit moi-même ; et celui qui me reçoit, reçoit Celui qui m’a envoyé. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Jésus vient juste de laver les pieds de ses disciples. Je me rappelle cette scène étonnante, où Jésus se fait serviteur. Je reste devant cette scène, pour entrer dans les sentiments des disciples quand ils entendent Jésus leur parler ensuite.
2. Gardant à l'esprit le lavement des pieds, j'écoute maintenant Jésus: "Un serviteur n’est pas plus grand que son maître, ni un envoyé plus grand que celui qui l’envoie". Comment est-ce que je reçois cette parole ? Que me dit-elle sur ma vie, sur mes priorités ?
3. Puis-je me rappeler un instant de ma vie où je me suis mis au service de mes frères et sœurs, en vérité, gratuitement ? Quand j'y repense, qu'est-ce qui me vient comme sentiment ? Puis-je y trouver une certaine joie ? La sensation d'y rejoindre le Christ ?
J'écoute à nouveau ce passage d’Évangile, attentif à la promesse de bonheur que Jésus m'adresse.
D'une manière simple et directe, je parle à Jésus. Je lui partage ce que m'inspirent ses paroles, comment je les reçois, les questions qui me viennent. Je lui demande de m'aider à accueillir son message, de m'aider à me laisser envoyer au service.
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, amen
Aujourd'hui nous sommes le jeudi 15 mai et nous faisons mémoire de saint André Bobola.
Jésuite du XVII° siècle, André Bobola fut un grand prédicateur, qui chercha à réconcilier catholiques et orthodoxes dans l'Est de la Pologne. Il poussa cet engagement jusqu'au martyre, par les mains des cosaques. Il est l'un des saints patrons de la Pologne. A son image, je demande à Dieu de faire de moi un instrument de paix et de réconciliation. Au nom du Père, du Fils, et du Saint Esprit, amen.
Nous pouvons écouter en polonais, le chant “Barka” de Stanisław Szmidt, un chant qu’aimait tout particulièrement le Pape saint Jean-Paul II. Dans ce chant, le Christ nous invite à laisser sa barque pour le suivre.
Pan kiedyś stanął nad brzegiem
Szukał ludzi gotowych pójść za Nim
By łowić serca słów bożych prawdą
R/ O Panie, to Ty na mnie spojrzałeś
Twoje usta dziś wyrzekły Twe imię
Swoją barkę pozostawiam na brzegu
Razem z Tobą nowy zacznę dziś łów
Jestem ubogim człowiekiem
Moim skarbem są ręce gotowe
Do pracy z Tobą i czyste serce
Ty potrzebujesz mych dłoni
Mego serca młodego zapałem
Mych kropli potu i samotności
Traduction du chant religieux qu'aimait particulièrement le Pape saint Jean-Paul II.
Le Christ, debout sur le rivage.
Celui-ci à cherché des hommes prêts à le suivre.
Pour pêcher le cœur et prêcher la Sainte parole de Dieu.
R/ Oh, Seigneur, Toi qui m'a regardé, Toi qui m'a trouvé.
Aujourd'hui, tes lèvres ont prononcé mon nom.
Ma barque, laissée sur la rive.
Seulement avec Toi, ta présence, une nouvelle pêche débutera.
Moi, je suis un homme pauvre.
Mon unique trésor se reflète dans mes mains calleuses, prêtes au travail.
Avec Toi et un cœur pur, simple et humble.
Toi, tu as besoin de mes mains,
De mon cœur toujours exalté et jeune.
De mes gouttes de sueur et de ma solitude.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 13 de l’évangile selon saint Jean.
Après avoir lavé les pieds de ses disciples, Jésus parla ainsi :
« Amen, amen, je vous le dis : un serviteur n’est pas plus grand que son maître, ni un envoyé plus grand que celui qui l’envoie. Sachant cela, heureux êtes-vous, si vous le faites. Ce n’est pas de vous tous que je parle. Moi, je sais quels sont ceux que j’ai choisis, mais il faut que s’accomplisse l’Écriture : Celui qui mange le pain avec moi m’a frappé du talon. Je vous dis ces choses dès maintenant, avant qu’elles n’arrivent ; ainsi, lorsqu’elles arriveront, vous croirez que moi, JE SUIS. Amen, amen, je vous le dis : si quelqu’un reçoit celui que j’envoie, il me reçoit moi-même ; et celui qui me reçoit, reçoit Celui qui m’a envoyé. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Jésus vient juste de laver les pieds de ses disciples. Je me rappelle cette scène étonnante, où Jésus se fait serviteur. Je reste devant cette scène, pour entrer dans les sentiments des disciples quand ils entendent Jésus leur parler ensuite.
2. Gardant à l'esprit le lavement des pieds, j'écoute maintenant Jésus: "Un serviteur n’est pas plus grand que son maître, ni un envoyé plus grand que celui qui l’envoie". Comment est-ce que je reçois cette parole ? Que me dit-elle sur ma vie, sur mes priorités ?
3. Puis-je me rappeler un instant de ma vie où je me suis mis au service de mes frères et sœurs, en vérité, gratuitement ? Quand j'y repense, qu'est-ce qui me vient comme sentiment ? Puis-je y trouver une certaine joie ? La sensation d'y rejoindre le Christ ?
J'écoute à nouveau ce passage d’Évangile, attentif à la promesse de bonheur que Jésus m'adresse.
D'une manière simple et directe, je parle à Jésus. Je lui partage ce que m'inspirent ses paroles, comment je les reçois, les questions qui me viennent. Je lui demande de m'aider à accueillir son message, de m'aider à me laisser envoyer au service.
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, amen
Aujourd'hui nous sommes le jeudi 15 mai et nous faisons mémoire de saint André Bobola.
Jésuite du XVII° siècle, André Bobola fut un grand prédicateur, qui chercha à réconcilier catholiques et orthodoxes dans l'Est de la Pologne. Il poussa cet engagement jusqu'au martyre, par les mains des cosaques. Il est l'un des saints patrons de la Pologne. A son image, je demande à Dieu de faire de moi un instrument de paix et de réconciliation. Au nom du Père, du Fils, et du Saint Esprit, amen.
Nous pouvons écouter en polonais, le chant “Barka” de Stanisław Szmidt, un chant qu’aimait tout particulièrement le Pape saint Jean-Paul II. Dans ce chant, le Christ nous invite à laisser sa barque pour le suivre.
Pan kiedyś stanął nad brzegiem
Szukał ludzi gotowych pójść za Nim
By łowić serca słów bożych prawdą
R/ O Panie, to Ty na mnie spojrzałeś
Twoje usta dziś wyrzekły Twe imię
Swoją barkę pozostawiam na brzegu
Razem z Tobą nowy zacznę dziś łów
Jestem ubogim człowiekiem
Moim skarbem są ręce gotowe
Do pracy z Tobą i czyste serce
Ty potrzebujesz mych dłoni
Mego serca młodego zapałem
Mych kropli potu i samotności
Traduction du chant religieux qu'aimait particulièrement le Pape saint Jean-Paul II.
Le Christ, debout sur le rivage.
Celui-ci à cherché des hommes prêts à le suivre.
Pour pêcher le cœur et prêcher la Sainte parole de Dieu.
R/ Oh, Seigneur, Toi qui m'a regardé, Toi qui m'a trouvé.
Aujourd'hui, tes lèvres ont prononcé mon nom.
Ma barque, laissée sur la rive.
Seulement avec Toi, ta présence, une nouvelle pêche débutera.
Moi, je suis un homme pauvre.
Mon unique trésor se reflète dans mes mains calleuses, prêtes au travail.
Avec Toi et un cœur pur, simple et humble.
Toi, tu as besoin de mes mains,
De mon cœur toujours exalté et jeune.
De mes gouttes de sueur et de ma solitude.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 13 de l’évangile selon saint Jean.
Après avoir lavé les pieds de ses disciples, Jésus parla ainsi :
« Amen, amen, je vous le dis : un serviteur n’est pas plus grand que son maître, ni un envoyé plus grand que celui qui l’envoie. Sachant cela, heureux êtes-vous, si vous le faites. Ce n’est pas de vous tous que je parle. Moi, je sais quels sont ceux que j’ai choisis, mais il faut que s’accomplisse l’Écriture : Celui qui mange le pain avec moi m’a frappé du talon. Je vous dis ces choses dès maintenant, avant qu’elles n’arrivent ; ainsi, lorsqu’elles arriveront, vous croirez que moi, JE SUIS. Amen, amen, je vous le dis : si quelqu’un reçoit celui que j’envoie, il me reçoit moi-même ; et celui qui me reçoit, reçoit Celui qui m’a envoyé. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1. Jésus vient juste de laver les pieds de ses disciples. Je me rappelle cette scène étonnante, où Jésus se fait serviteur. Je reste devant cette scène, pour entrer dans les sentiments des disciples quand ils entendent Jésus leur parler ensuite.
2. Gardant à l'esprit le lavement des pieds, j'écoute maintenant Jésus: "Un serviteur n’est pas plus grand que son maître, ni un envoyé plus grand que celui qui l’envoie". Comment est-ce que je reçois cette parole ? Que me dit-elle sur ma vie, sur mes priorités ?
3. Puis-je me rappeler un instant de ma vie où je me suis mis au service de mes frères et sœurs, en vérité, gratuitement ? Quand j'y repense, qu'est-ce qui me vient comme sentiment ? Puis-je y trouver une certaine joie ? La sensation d'y rejoindre le Christ ?
J'écoute à nouveau ce passage d’Évangile, attentif à la promesse de bonheur que Jésus m'adresse.
D'une manière simple et directe, je parle à Jésus. Je lui partage ce que m'inspirent ses paroles, comment je les reçois, les questions qui me viennent. Je lui demande de m'aider à accueillir son message, de m'aider à me laisser envoyer au service.
Je vous salue Marie, pleine de grâce ;
Le Seigneur est avec vous.
Vous êtes bénie entre toutes les femmes
Et Jésus, le fruit de vos entrailles, est béni.
Sainte Marie, Mère de Dieu,
Priez pour nous pauvres pécheurs,
Maintenant et à l’heure de notre mort.
Amen
Au nom du Père et du Fils et du Saint-Esprit, amen