Évangile du jour : Mc 2, 13-17
En ce temps-là, Jésus sortit de nouveau le long de la mer ; toute la foule venait à lui, et il les enseignait. En passant, il aperçut Lévi, fils d’Alphée, assis au bureau des impôts. Il lui dit : « Suis-moi. » L’homme se leva et le suivit. Comme Jésus était à table dans la maison de Lévi, beaucoup de publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) et beaucoup de pécheurs vinrent prendre place avec Jésus et ses disciples, car ils étaient nombreux à le suivre. Les scribes du groupe des pharisiens, voyant qu’il mangeait avec les pécheurs et les publicains, disaient à ses disciples : « Comment ! Il mange avec les publicains et les pécheurs ! » Jésus, qui avait entendu, leur déclara : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
Aujourd'hui nous sommes le samedi 14 janvier, dans la première semaine du temps ordinaire.
Le cœur bien disposé pour entrer dans la prière, nous nous présentons au Seigneur. Au nom du Père, et du Fils et du Saint Esprit. Amen
Nous entrons en prière avec Tann dir du Père Laurent Rivet.
La lecture de ce jour est tirée du chapitre 2 de l’évangile de Marc.
En ce temps-là, Jésus sortit de nouveau le long de la mer ; toute la foule venait à lui, et il les enseignait. En passant, il aperçut Lévi, fils d’Alphée, assis au bureau des impôts. Il lui dit : « Suis-moi. » L’homme se leva et le suivit. Comme Jésus était à table dans la maison de Lévi, beaucoup de publicains (c’est-à-dire des collecteurs d’impôts) et beaucoup de pécheurs vinrent prendre place avec Jésus et ses disciples, car ils étaient nombreux à le suivre. Les scribes du groupe des pharisiens, voyant qu’il mangeait avec les pécheurs et les publicains, disaient à ses disciples : « Comment ! Il mange avec les publicains et les pécheurs ! » Jésus, qui avait entendu, leur déclara : « Ce ne sont pas les gens bien portants qui ont besoin du médecin, mais les malades. Je ne suis pas venu appeler des justes, mais des pécheurs. »
Textes liturgiques © AELF, Paris
1
« En passant, il aperçut Lévi, fils d’Alphée. » Ce Lévi, ou Matthieu, Jésus le connaissait-il ? En tout cas, un jour il l’aperçoit, et cela suffit. Un regard de Jésus sur le publicain Lévi, cela suffit. Un regard posé sur le pécheur que je suis, cela suffit. Pendant quelques instants, je réfléchis là-dessus et peux supplier Jésus de porter sur moi son regard de justice et de bonté.
2
« Il lui dit : ‘Suis-moi’. L’homme se leva et le suivit. » Le pape François a tiré de cet épisode sa devise : « Dieu m’a fait miséricorde et il m’a appelé. » Voilà le ressort de la vie chrétienne : se savoir, quoique pécheur, appelé par le Christ. Je réfléchis là-dessus : où en est mon expérience de la miséricorde ? Où en est mon appel que Dieu m’adresse aujourd’hui ?
3
« Il mangeait avec les pécheurs. » Ce fait étonnant doit nous aider à regarder autrement les « pécheurs », les personnes que l’on stigmatise pour leurs fautes. Jésus n’aime pas le péché, mais il ne relâche jamais sa bonté pour personne ; il corrige, console, ouvre à nouveau un chemin de vie. Je réfléchis à cela. Je prie pour des gens. Je me confie moi-même au Christ.
L’évangile nous est relu une deuxième fois.
Je conclus ma prière en parlant au Seigneur. Je peux à nouveau lui confier des personnes, le prier pour l’Eglise. Je lui parle avec confiance.
Réjouis-toi Marie comblée de grâce
Le Seigneur est avec toi.
Tu es bénie entre les femmes
Et Jésus ton enfant est béni.
Réjouis-toi Marie comblée de grâce
Le Seigneur est avec toi.
Tu es bénie entre les femmes
Et Jésus ton enfant est béni.
Sainte Marie mère de Dieu
Prie pour nous pécheurs
Maintenant et à l'heure de la mort.