Samedi 13 décembre

Relecture

Je demande maintenant à Dieu de m’éclairer, par la lumière de son Esprit-Saint, pour porter un regard lucide sur ma vie.

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Samedi 13 décembre

Relecture

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Aujourd'hui nous sommes le samedi 13 décembre, dans la deuxième semaine de l’Avent.

Dans le cadre du parcours d’Avent “La paix mission prioritaire” nous vous proposons aujourd'hui une prière de relecture de vie en portant une attention particulière à la paix dans nos relations avec les autres : famille, travail, associations, voisins, différents lieux de vie…

Dans son topo (disponible sur le site ou l'application Prie en chemin), le Jésuite Thierry Anne nous rappelle que, dans la Bible, pour que les fils de Jacob- Joseph et ses frères- fassent la paix, il avait fallu une famine, et donc une situation de grande vulnérabilité, pour déplacer la relation et pour ouvrir un espace de pardon.

Je cherche à regarder ma vie de la semaine “de plus loin” avec une grande compassion, comme si tous les protagonistes, moi compris, étaient vulnérables, ou pauvres, et qu’ils me faisaient pitié. Peut-être un peu comme Dieu nous regarde ? Je pense à son amour pour nous… et malgré nous.

Je demande maintenant à Dieu de m’éclairer, par la lumière de son Esprit-Saint, pour porter un regard lucide sur ma vie.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen

Nous écoutons le chant de Taizé “Ubi Caritas deus sibi est”:

R/ Ubi caritas, et amor
Ubi caritas, Deus ibi est (bis)


Traduction :
Là où sont la charité et l'amour,
Dieu est présent. (bis)


Je cherche à dérouler le film de ma semaine et je porte mon attention sur les relations interpersonnelles que j’ai vécues ces derniers jours.
Je repère les moments de paix, de sérénité, vécus dans certaines relations. Je rends grâce à Dieu pour la paix reçue et partagée. Je le remercie de sa paix.

Cette semaine a sans doute aussi été marquée par des moments de tensions, de conflits, peut-être même du ressentiment. Est-ce que j'identifie ce qui a empêché ou freiné la paix ? Je confie au Seigneur les moments de tension. Je prie non seulement pour les personnes, mais aussi en lui présentant ce que j’ai vécu.

Je demande à Dieu de m’éclairer pour identifier une action à réaliser, un pas à faire. Est-ce que je peux identifier des ressources qui m’aideraient ? (la prière, une médiation, des outils de communication non violente, …). Peut-être ai-je un pardon à donner ou à recevoir. Si ce n’est pas possible pour l’instant, comment est-ce que j’accueille la possibilité que ce pardon advienne un jour ?

A l’approche de Noël, comment est-ce que j’aborde cette période de fêtes, bien souvent l’occasion de retrouvailles familiales ? Je laisse monter en moi ce qui m’habite : joie, espérance, appréhension, tristesse, peur ou tout autre sentiment. Je dépose cela au Seigneur, dans la confiance qu’il est à mes côtés.

Je peux conclure ma prière en disant avec saint François d’Assise :

Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant à
être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant que l'on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve soi-même,
c’est en pardonnant que l'on obtient le pardon,
c’est en mourant que l'on ressuscite à la vie.


Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.

La prière terminée, je prends le temps de prendre des notes.

Aujourd'hui nous sommes le samedi 13 décembre, dans la deuxième semaine de l’Avent.

Dans le cadre du parcours d’Avent “La paix mission prioritaire” nous vous proposons aujourd'hui une prière de relecture de vie en portant une attention particulière à la paix dans nos relations avec les autres : famille, travail, associations, voisins, différents lieux de vie…

Dans son topo (disponible sur le site ou l'application Prie en chemin), le Jésuite Thierry Anne nous rappelle que, dans la Bible, pour que les fils de Jacob- Joseph et ses frères- fassent la paix, il avait fallu une famine, et donc une situation de grande vulnérabilité, pour déplacer la relation et pour ouvrir un espace de pardon.

Je cherche à regarder ma vie de la semaine “de plus loin” avec une grande compassion, comme si tous les protagonistes, moi compris, étaient vulnérables, ou pauvres, et qu’ils me faisaient pitié. Peut-être un peu comme Dieu nous regarde ? Je pense à son amour pour nous… et malgré nous.

Je demande maintenant à Dieu de m’éclairer, par la lumière de son Esprit-Saint, pour porter un regard lucide sur ma vie.
Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit. Amen

Nous écoutons le chant de Taizé “Ubi Caritas et amor”:

R/ Ubi caritas, et amor
Ubi caritas, Deus ibi est (bis)


Traduction :
Là où sont la charité et l'amour,
Dieu est présent. (bis)


Je cherche à dérouler le film de ma semaine et je porte mon attention sur les relations interpersonnelles que j’ai vécues ces derniers jours.
Je repère les moments de paix, de sérénité, vécus dans certaines relations. Je rends grâce à Dieu pour la paix reçue et partagée. Je le remercie de sa paix.

Cette semaine a sans doute aussi été marquée par des moments de tensions, de conflits, peut-être même du ressentiment. Est-ce que j'identifie ce qui a empêché ou freiné la paix ? Je confie au Seigneur les moments de tension. Je prie non seulement pour les personnes, mais aussi en lui présentant ce que j’ai vécu.

Je demande à Dieu de m’éclairer pour identifier une action à réaliser, un pas à faire. Est-ce que je peux identifier des ressources qui m’aideraient ? (la prière, une médiation, des outils de communication non violente, …). Peut-être ai-je un pardon à donner ou à recevoir. Si ce n’est pas possible pour l’instant, comment est-ce que j’accueille la possibilité que ce pardon advienne un jour ?

A l’approche de Noël, comment est-ce que j’aborde cette période de fêtes, bien souvent l’occasion de retrouvailles familiales ? Je laisse monter en moi ce qui m’habite : joie, espérance, appréhension, tristesse, peur ou tout autre sentiment. Je dépose cela au Seigneur, dans la confiance qu’il est à mes côtés.

Je peux conclure ma prière en disant avec saint François d’Assise :

Seigneur, fais de moi un instrument de ta paix,
Là où est la haine, que je mette l’amour.
Là où est l’offense, que je mette le pardon.
Là où est la discorde, que je mette l’union.
Là où est l’erreur, que je mette la vérité.
Là où est le doute, que je mette la foi.
Là où est le désespoir, que je mette l’espérance.
Là où sont les ténèbres, que je mette la lumière.
Là où est la tristesse, que je mette la joie.
O Seigneur, que je ne cherche pas tant à
être consolé qu’à consoler,
à être compris qu’à comprendre,
à être aimé qu’à aimer.
Car c’est en se donnant que l'on reçoit,
c’est en s’oubliant qu’on se retrouve soi-même,
c’est en pardonnant que l'on obtient le pardon,
c’est en mourant que l'on ressuscite à la vie.


Au nom du Père, et du Fils, et du Saint-Esprit.

La prière terminée, je prends le temps de prendre des notes.




Musiques

Ubi Caritas de The community of Taizé interprété par
«Christmas Guitar» © Creative Commons by-nc-sa license from Magnatunes voir la licence de Magnatunes

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