Aujourd'hui nous sommes le mardi 2 juillet.

Au début de ce temps de prière je demande au Seigneur d’ouvrir mon cœur afin de me laisser travailler par l’Esprit et sa parole. Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit, Amen

La lecture de ce jour est tirée de l’évangile selon saint Matthieu, au chapitre 8.

En ce temps-là, comme Jésus montait dans la barque, ses disciples le suivirent. Et voici que la mer devint tellement agitée que la barque était recouverte par les vagues. Mais lui dormait. Les disciples s’approchèrent et le réveillèrent en disant : « Seigneur, sauve-nous ! Nous sommes perdus. » Mais il leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs, hommes de peu de foi ? » Alors, Jésus, debout, menaça les vents et la mer, et il se fit un grand calme. Les gens furent saisis d’étonnement et disaient : « Quel est donc celui-ci, pour que même les vents et la mer lui obéissent ? »

Textes liturgiques © AELF, Paris

Point 1
J’imagine Jésus et ses disciples dans la barque. Le vent qui souffle fort, la mer agitée, les disciples qui prennent peur. Jésus dort. Quel contraste est-ce que je vois ?

Point 2
En nous présentant Jésus endormi, Matthieu nous donne l’impression que Jésus est comme « à côté de la plaque » : on ne dort pas sur une barque en pleine tempête ! Jésus ne semble-t-il pas ici comme absent, déconnecté, insouciant de la vie de ses disciples ?

Point 3
Bien qu’ayant choisi de suivre le Christ, dans ma vie, j’expérimente des tempêtes, des situations où je me sens en péril, impuissante devant des défis qui me dépassent. J’ai alors l’impression d’être seule, sans secours… et j’ai peur. Et parfois, ou souvent, Jésus semble endormi ! Quelles questions montent alors en moi ?

Je réécoute ce passage et je prends davantage conscience que Jésus est dans la tempête lui aussi. Il n’est pas absent, mais dans une autre posture. Et je m’interroge : quelle est cette posture ? À quelle posture Jésus pourrait-il m’appeler au cœur de mes tempêtes ? Que m’appelle-t-il à ne pas lâcher ? Ne serais-je pas déjà définitivement sauvé ?

Je peux demander au Seigneur de m’aider à mieux le percevoir à mes côtés et à mieux le reconnaître comme le vrai Seigneur de la danse, de la Vie.

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen

Aujourd'hui nous sommes le mardi 2 juillet.

Au début de ce temps de prière je demande au Seigneur d’ouvrir mon cœur afin de me laisser travailler par l’Esprit et sa parole. Au nom du Père, et du Fils et du Saint-Esprit, Amen

La lecture de ce jour est tirée de l’évangile selon saint Matthieu, au chapitre 8.

En ce temps-là, comme Jésus montait dans la barque, ses disciples le suivirent. Et voici que la mer devint tellement agitée que la barque était recouverte par les vagues. Mais lui dormait. Les disciples s’approchèrent et le réveillèrent en disant : « Seigneur, sauve-nous ! Nous sommes perdus. » Mais il leur dit : « Pourquoi êtes-vous si craintifs, hommes de peu de foi ? » Alors, Jésus, debout, menaça les vents et la mer, et il se fit un grand calme. Les gens furent saisis d’étonnement et disaient : « Quel est donc celui-ci, pour que même les vents et la mer lui obéissent ? »

Textes liturgiques © AELF, Paris

Point 1
J’imagine Jésus et ses disciples dans la barque. Le vent qui souffle fort, la mer agitée, les disciples qui prennent peur. Jésus dort. Quel contraste est-ce que je vois ?

Point 2
En nous présentant Jésus endormi, Matthieu nous donne l’impression que Jésus est comme « à côté de la plaque » : on ne dort pas sur une barque en pleine tempête ! Jésus ne semble-t-il pas ici comme absent, déconnecté, insouciant de la vie de ses disciples ?

Point 3
Bien qu’ayant choisi de suivre le Christ, dans ma vie, j’expérimente des tempêtes, des situations où je me sens en péril, impuissante devant des défis qui me dépassent. J’ai alors l’impression d’être seule, sans secours… et j’ai peur. Et parfois, ou souvent, Jésus semble endormi ! Quelles questions montent alors en moi ?

Je réécoute ce passage et je prends davantage conscience que Jésus est dans la tempête lui aussi. Il n’est pas absent, mais dans une autre posture. Et je m’interroge : quelle est cette posture ? À quelle posture Jésus pourrait-il m’appeler au cœur de mes tempêtes ? Que m’appelle-t-il à ne pas lâcher ? Ne serais-je pas déjà définitivement sauvé ?

Je peux demander au Seigneur de m’aider à mieux le percevoir à mes côtés et à mieux le reconnaître comme le vrai Seigneur de la danse, de la Vie.

Notre Père, qui es aux cieux,
que ton nom soit sanctifié,
que ton règne vienne,
que ta volonté soit faite sur la terre comme au ciel.
Donne-nous aujourd’hui notre pain de ce jour.
Pardonne-nous nos offenses,
comme nous pardonnons aussi à ceux qui nous ont offensés.
Et ne nous laisse pas entrer en tentation
mais délivre-nous du Mal.
Amen